DAV
webinst
info.xml
Ce document décrit les procédures d'installation et de mise à jour de Dynacase Platform, et présente les principales procédures d'exploitation.
L'installation d'un contexte Dynacase nécessite au préalable l'installation de Dynacase Control qui permet de créer et de gérer les contextes Dynacase. Dans un contexte Dynacase vous pouvez installer Dynacase Platform et les modules spécifiques à votre application.
wiff wstart
et wiff wstop
webinst
et le nom d'un module dans Format des modules webinst
CORE_TMPDIR
et FREEDOM_UPLOADDIR
lors de la Restauration d'un contexteconnect-timeout
post-restore
du workflow des opérations des modules webinstMODULE_VERSION_{TO,FROM}
dans les programmes personnalisésCe chapitre identifie l'ensemble des prérequis pour l'installation et l'utilisation de Dynacase Platform.
Seuls les prérequis pour les modules standards sont listés.
Installer le module php Intl
(php5-intl
habituellement) et penser à
relancer le service apache.
Ce module est utilisé pour l'internationalisation.
La fonction iconv
doit être fournie par PHP compilé avec GLIBC.
Pour vérifier cela :
$ iconv --version iconv (Ubuntu EGLIBC 2.11.1-0ubuntu7.8) 2.11.1 ... $ php -r 'var_dump(ICONV_IMPL); var_dump(iconv("UTF-8", "ASCII//TRANSLIT", "\xc3\xa9t\xc3\xa8"));' string(5) "glibc" string(3) "ete"
fr_FR
et en_US
Les locales fr_FR.UTF-8
et en_US.UTF-8
(ainsi que les dictionnaires aspell
de langue fr
et en
) doivent être installés et disponibles sur le serveur.
mod_headers
Installer et activer le module Apache mod_headers
.
Les navigateurs supportés sont :
3.2 R17 IE 8, 9, 10 et 11 / Chrome stable / Firefox stable
3.2 R11 IE 8, 9, 10 et 11 / Chrome stable / Firefox >= 4.0.1
3.2 R10 IE 8 et 9 / Chrome stable / Firefox > 3.6
Dynacase fonctionne sur un système GNU/Linux (Debian, Ubuntu, RedHat, etc.).
Dynacase requiert les commandes système suivantes :
rm
file
mkdir
tar
gzip
zip
(commande zip
avec support de l'option -Z store
de info-zip
>=
3.0. En cas de problème avec la commande zip
, utiliser la version fournie
par Info-ZIP)unzip
(En cas de problème avec la commande unzip
, utiliser la version
fournie par Info-ZIP)dot
(fourni par Graphviz)convert
(fourni par ImageMagick)recode
html2ps
ps2pdf
(fourni par Ghostscript)php
(PHP en ligne de commande. Voir les prérequis php)psql
(Voir les prérequis postgresql)pg_dump
(Voir les prérequis postgresql
msgcat
(fourni par
gettext)ldapdelete
(fourni par OpenLDAP) (optionnel)patch
(fourni par patch)Dynacase requiert que les locales systèmes fr_FR.UTF-8
et en_US.UTF-8
soient actives et correctement configurées sur le système.
Dynacase requiert aussi que les dictionnaires de langue fr
et en
de la
librairie aspell
soient installés et accessibles pour l'extension pspell
de
PHP.
18 Fév 2019 5.6 / 7.0 / 7.1 / 7.2
3.2 R17 5.6 / 7.0 / 7.1
3.2 R15 5.6 / 7.0 (Les versions 5.4 et 5.5 restent compatibles mais ne sont pas supportés. Les éventuels problèmes dus à ces versions obsolètes de PHP ne sont pas supportés par Anakeen.)
3.2 R14 5.4.4 / 5.5 / 5.6
3.2 R12 5.4.4 / 5.5
3.2 R11 5.4.4 / 5.5
3.2 R11 5.3
La version 5.3 n'est plus compatible à compter de la release 3.2 R12.
Pour les distributions Linux qui ne fournissent pas la version PHP nécessaire, Zend Server fournit différentes versions de PHP pour les distributions Linux.
Les extensions notées (core) sont normalement incluses de manière statique dans PHP.
3.2 R15 Aucune dépendance sur les composants PEAR n'est requise.
XML_Parser
(1.3.2) / XML_RSS
(1.0.2)XML_Parser
(1.3.2) / XML_RSS (1.0.2)
/ Net_SMTP
(1.6.0) / Mail_Mime
(1.8.0) / Crypt_CHAP
(optionnel)Certains paramètres de PHP doivent être modifiés afin que Dynacase Platform fonctionne au mieux et en fonction de votre utilisation. Ces valeurs préconisées doivent être revues en fonction de votre configuration réelle et de vos applications.
date.timezone
Ce paramètre permet de spécifier le fuseau horaire utilisé par les fonctions de manipulation de date.
date.timezone = 'Europe/Paris'
max_execution_time
Ce paramètre permet de spécifier le temps maximal (en seconde) de traitement d'une requête par PHP. Par défaut ce paramètre est à “30”.
max_execution_time = 300 ; 5 min.
max_file_uploads
Ce paramètre permet de spécifier le nombre maximum de fichiers qui seront pris en compte par PHP lors de la soumission d'un formulaire contenant des fichiers.
Cette valeur doit être en cohérence avec le nombre maximum de fichier pouvant être soumis lors de l'enregistrement d'un document.
Si ce n'est pas le cas, l'enregistrement du document est refusé à
l'utilisateur et le message d'erreur suivant est présenté à l'utilisateur :
"Trop de fichiers dans le formulaire. Veuillez contacter votre
administrateur système pour augmenter max_file_uploads dans php.ini. Le
maximum est de %s
".
Par défaut ce paramètre est à “20”.
max_file_uploads = 100
max_input_vars
Ce paramètre permet de spécifier le nombre maximum de variables de formulaires prises en compte par PHP lors de la soumission des formulaires.
Si vous avez beaucoup d'attributs sur vos familles et que la valeur
déclarée de ce paramètre est trop basse, le message d'erreur suivant est
présenté à l'utilisateur lors de la soumission des formulaire d'édition de
documents : "Variables d'entrée dépassées %s. Veuillez contacter votre
administrateur système pour augmenter max_input_vars dans php.ini.
".
Par défaut ce paramètre est à "1000".
max_input_vars = 1000
error_reporting
Ce paramètre permet de spécifier le niveau de reporting des
notices/warnings/erreurs/etc. Il est nécessaire de ne pas afficher les
messages de notices (E_NOTICE
), de dépréciation (E_DEPRECATED
) et
de suggestion (E_STRICT
) de PHP lors de l'utilisation de Dynacase
Platform en production.
error_reporting = E_ALL & ~E_NOTICE & ~E_DEPRECATED & ~E_STRICT
display_errors
Ce paramètre permet d'activer ou non l'affichage des erreurs PHP dans les
réponses émises au client. En production, il est recommandé de désactiver
le display_errors
(les messages d'erreur/warning/suggestion de PHP seront
alors consultables sur le serveur dans le fichier spécifié par le paramètre
INI error_log
).
Par défaut ce paramètre est à On
.
display_errors = Off
Les paramètres suivants sont définis dans le fichire .htaccess
à la racine du contexte.
Ils doivent êre redéfinis dans ce fichier, et doivent être repositionnés après chaque mise à jour de Dynacase.
post_max_size
Ce paramètre permet de spécifier la taille maximale d'une requête de type
POST
.
Par défaut ce paramètre est à "80M"
(80 Mo).
post_max_size = "128M"
upload_max_filesize
Ce paramètre permet de spécifier la taille maximale d'un fichier téléversé. Si un fichier d'une taille supérieure est envoyé par le navigateur, il ne sera pas pris en compte par PHP.
Par défaut ce paramètre est à "80M"
(80 Mo).
upload_max_filesize = "20M"
18 Fév 2019 9.1 / 9.2 / 9.3 / 9.4 / 9.5 / 9.6 / 10
3.2 R17 9.1 / 9.2 / 9.3 / 9.4 / 9.5 / 9.6
3.2 R15 9.1 / 9.2 / 9.3 / 9.4 / 9.5 (Les versions 9.1 / 9.2 / 9.3 restent compatibles. Néanmoins, les versions recommandées par Anakeen sont les dernières versions de Postgresql 9.4 et 9.5.)
3.2 R14 9.1 / 9.2 / 9.3 / 9.4
3.2 R12 9.1 / 9.2 / 9.3
3.2 R11 9.1 / 9.2 / 9.3
3.2 R11 8.4
La version 8.4 n'est plus compatible à compter de la release 3.2 R12
Les différentes optimisations, en particulier sur le calcul des droits ne sont effectives qu'avec la version 9.1 de PostgreSQL.
Dynacase utilise le fichier de service Postgresql (pg_service.conf
) pour la
définition des paramètres de connexion à la base de données :
Pour identifier l'emplacement du fichier pg_service.conf
sur votre
distribution Linux, vous pouvez utiliser la commande suivante :
# pg_config --sysconfdir
Dynacase Platform nécessite le serveur HTTPD Apache en version 2.2 et 2.4.
Le répertoire dans lequel sera installé Dynacase doit avoir un AllowOverride
All
afin que les .htaccess
livrée par Dynacase soient bien pris en compte
par Apache :
L'utilisation avec Apache 2.4 requiert l'utilisation du module mod_access_compat
:
Les modules Apache suivants sont requis :
php5_module
(Voir les prérequis php)env_module
expires_module
dir_module
auth_basic_module
authn_file_module
authz_host_module
setenvif_module
rewrite_module
headers_module
Si vous utilisez Apache 2.4, les modules suivants sont requis en plus des modules ci-dessus :
Dynacase Control est l'outil qui permet d'installer et de gérer des contextes Dynacase.
Dynacase Control est téléchargeable ici : http://dynacase.anakeen.com/control/dynacase-control-current.tar.gz.
Vous pouvez vous reporter à l'annexe Vérification de l'intégrité des éléments téléchargés pour plus d'explication sur le contrôle de l'intégrité des données téléchargées.
L'installation s'effectue sous le compte root.
L'archive "tar.gz" récupérée doit être décompressée dans un répertoire servi par Apache, par exemple dans le DocumentRoot de la configuration Apache.
root@server: cd /var/www # Debian/Ubuntu root@server: cd /var/www/html # RedHat/CentOS
Télécharger l'archive de Dynacase Control:
wget http://dynacase.anakeen.com/control/dynacase-control-current.tar.gz
Extraire l'archive et renommer le répertoire :
tar zxf dynacase-control-current.tar.gz mv dynacase-control-*-* dynacase-control
Modifier le propriétaire du répertoire de Dynacase Control pour être celui de l'utilisateur faisant tourner Apache.
chown -R www-data: dynacase-control # Debian/Ubuntu chown -R apache: dynacase-control # RedHat/Centos
L'url de connexion dépend de votre configuration Apache. Si Dynacase Control a été installé dans votre Document Root, l'URL de connexion est : http://localhost/dynacase-control/
Lors de la première connexion à Dynacase Control, vous devez saisir un login et un mot de passe afin de contrôler l'accès à l'interface de Dynacase Control.
Figure 1. définition du login d'accès à Dynacase Control
Dynacase Control vous demande si vous souhaitez enregistrer ce dernier avec votre compte EEC.
Cet enregistrement vous permet de déclarer l'installation de Dynacase conformément à votre contrat EEC.
Figure 2. enregistrement EEC
Si vous n'avez pas de compte EEC, cliquez sur le bouton '[Register later…]'
Si vous n'enregistrez pas Dynacase Control lors de cette première connexion, vous aurez toujours la possibilité de le faire depuis l'interface Control.
Figure 3. interface Dynacase Control
L'interface Control > Setup
permet de configurer Dynacase Control. Vous pouvez, depuis cet écran:
Figure 4. interface setup Dynacase Control
Lors de la connexion à l'interface Dynacase Control, celui-ci vérifie si une nouvelle version est disponible. Si c'est le cas, alors une popup propose de télécharger et d'appliquer la mise à jour :
Figure 5. mise à jour de Dynacase Control
Si vous refusez la mise à jour, il est alors possible d'appliquer ultérieurement la mise à jour en allant dans la section Setup > Dynacase Control Information, en cliquant sur le bouton [Update].
Vous pouvez configurer l'hôte sur lequel Dynacase Control effectuera les recherches et téléchargements de mises-à-jour (c'est particulièrement utile lors de l'installation sur une machine n'ayant pas accès à internet). Par défaut, la configuration pointe sur le dépôt officiel Anakeen de Dynacase Control.
nom du paramètre | valeur par défaut | description |
---|---|---|
wiff-update-host | http://dynacase.anakeen.com | Le nom de l'hôte hébergeant les mises-à-jour avec le protocole à utiliser (“http://” ou “ftp://”) |
wiff-update-path | /control/ | Le chemin d'accès au répertoire des mises-à-jour |
wiff-update-login | Login de connexion au serveur de mise à jour | |
wiff-update-password | Mot de passe de connexion au serveur de mise à jour |
L'enregistrement permet d'associer une instance de Dynacase Control avec votre contrat EEC. Cet enregistrement va automatiquement envoyer sur les serveurs de Dynacase certaines informations de configuration de votre serveur, permettant de simplifier les éventuelles interventions ultérieures de support. Enfin, l'enregistrement avec votre compte EEC va également ajouter automatiquement à Dynacase Control la liste des dépôts de paquets privés associés à votre contrat.
La section Repositories permet d'ajouter, supprimer et éditer des dépôts de paquets qui pourront être utilisés pour créer un contexte Dynacase.
Lorsque vous souhaitez installer une version donnée de Dynacase, il vous faut ajouter de dépôt correspondant.
Figure 6. Édition de dépôt
Lors de l'édition d'un dépôt, vous avez à renseigner les champs suivants:
Nom du paramètre | description |
---|---|
Name | Le nom du dépôt de paquets (caractère alpha-numérique uniquement). |
Description | Un champ libre de description du dépôt (optionnel) |
Protocol | Protocole d'accès au dépôt : (http, https, ftp, file) |
Host | Le nom d'hôte du serveur hébergeant le dépôt |
Path | Le chemin d'accès au répertoire webinst du dépôt |
Default | Cocher pour que ce dépôt soit activé par défaut lors de la création d'un contexte Dynacase |
Authenticated | Cocher si le dépôt de paquets requiet une authentification (comme dans le cas d'un dépôt EEC par exemple). |
Login | Le nom d'utilisateur (compte EEC) pour l'authentification du dépôt |
Password | Le mot de passe associé au login pour l'authentification du dépôt |
Confirm password | Confirmation du mot de passe |
Par défaut, le dépôt de la version communautaire de Dynacase Platform est pré-configuré :
Si vos accès aux dépôts Dynacase Platform nécessitent l'utilisation d'un proxy HTTP, vous pouvez définir celui-ci avec les paramètres suivants :
Nom du paramètre | description |
---|---|
use-proxy | Cocher se choix si vous souhaitez utiliser un proxy et compléter les paramètres suivants |
proxy-host | Le nom DNS (ou adresse IP) du proxy HTTP (Exemple : “proxy.example.net”) |
proxy-port | Le numéro de port du proxy HTTP (Exemple : “3128”) |
proxy-username | Le nom d'utiliteur pour le proxy, s'il requiert une authentification |
proxy-password | le mot de passe associé si le proxy requiert une authentification |
Le paramètre connect-timeout
(par défaut à 3
) permet de spécifier le temps
d'attente maximum pour l'établissement d'une connexion HTTP (e.g. connexion à
un dépôt de paquet pour vérifier son statut ou lister son contenu).
Nom du paramètre | description |
---|---|
connect-timeout | Temps d'attente maximum (en secondes) pour l'établissement d'une connexion HTTP |
0
(zéro), alors le temps d'attente maximum
sera le temps d'attente maximum par défaut de la librairie cURL (soit 300
secondes).control 1.5
Les messages d'erreurs émis par dynacase-control sont enregistrés de la manière suivante :
Le message est systématiquement envoyé au gestionnaire syslog local avec le
tag dynacase-control
et la "facility" déclarée par le paramètre
syslog-facility
(LOG_USER
par défaut).
Si le paramètre Local log > Local log On/Off
est activé (dans la section
Setup
), le message est aussi envoyé dans le fichier log/wiff.log
et
consultable avec le bouton Local log > View
de la section Setup
.
syslog-facility
La "facility" des messages émis par syslog est paramétrable par le paramètre
syslog-facility
qui peut prendre les valeurs suivantes :
LOG_AUTH
, LOG_AUTHPRIV
, LOG_CRON
, LOG_DAEMON
, LOG_KERN
, LOG_LOCAL0
,
LOG_LOCAL1
, LOG_LOCAL2
, LOG_LOCAL3
, LOG_LOCAL4
, LOG_LOCAL5
,
LOG_LOCAL6
, LOG_LOCAL7
, LOG_LPR
, LOG_MAIL
, LOG_NEWS
, LOG_SYSLOG
,
LOG_USER
, LOG_UUCP
.
La valeur du paramètre n'est pas modifiable par l'interface Web Pour modifier sa
valeur il faut éditer le fichier conf/params.xml
et changer la propriété
value
du paramètre syslog-facility
.
Exemple pour logger avec la "facility" LOG_LOCAL0
:
<param name="syslog-facility" mode="hidden" value="LOG_LOCAL0" />
Si la valeur de syslog-facility
est vide, alors la "facility" LOG_USER
est
utilisée.
Si la valeur de syslog-facility
n'est pas une "facility" valide, alors la
"facility" LOG_USER
est utilisée et un message d'erreur est émis indiquant que
la "facility" spécifiée est invalide (Invalid syslog-facility 'XXX'. Using
default facility.
).
L'installation de Dynacase Platform et de ses modules est réalisée en créant un contexte Dynacase Control.
Un contexte regroupe l'ensemble des éléments nécessaires au fonctionnement d'une application Dynacase Platform : code des différents modules (installés ou générés), données et paramètres de configuration.
L'item Create Context de l'interface Dynacase Control ouvre la fenêtre de création d'un nouveau contexte.
Figure 7. création d'un contexte
Vous êtes invité à saisir les paramètres du contexte :
Nom du paramètre | description |
---|---|
Name | Le nom du contexte |
Root | Chemin racine du répertoire d'installation du contexte. Il doit être accessible en lecture/écriture par Apache. Si le répertoire spécifié n'existe pas, Dynacase Control essayera de le créer. |
Description | Description du contexte (optionnel) |
Url | URL d'accès à Dynacase Platform, dépend de la configuration de votre serveur Apache (optionnel) |
Registration | Si Dynacase Control est enregistré avec votre compte EEC, vous pouvez enregistrer ce contexte avec votre compte EEC en cochant cette case. |
Repositories | Cocher la liste des dépôts de paquets que vous souhaitez utiliser pour installer ce contexte. Par défaut les dépôts de paquets configurés (dans l'interface Control > Setup > Repositories) avec “Default” seront pré-sélectionnés. |
Lorsque le contexte est créé, celui-ci apparaît dans la rubrique Context de l'interface de Dynacase Control.
Vous pouvez vous reporter à l'annexe Vérification de l'intégrité des éléments téléchargés pour plus d'explication sur le contrôle de l'intégrité des données téléchargées.
En sélectionnant le contexte créé, son détail et la liste des modules disponibles sont affichés.
Figure 8. détail d'un contexte
Vous pouvez maintenant sélectionner les modules que vous souhaitez installer parmi ceux proposés à la rubrique Available
.
Les modules pré-sélectionnés (comme Dynacase Core) sont obligatoires.
En cliquant sur le bouton [Install Selection] , le processus d'installation commence. Dynacase Control vérifie les dépendances des paquets sélectionnés, et propose la liste des paquets qui seront installés.
Figure 9. contrôle des dépendances
Si vous êtes d'accord avec la liste proposée, vous pouvez valider cette liste et poursuivre l'installation.
Chacun des modules sélectionnés pour l'installation va suivre ce même processus d'installation :
Figure 10. process d'installation
Le panneau principal détaille l'exécution des processus de pré-installation, installation et post-installation.
La liste des modules à installer est présentée dans la liste “Module List”. Les modules installés avec succès sont marqués par une pastille verte.
Les téléchargements des modules sont lancés.
Si nécessaire, il vous est demandé d'accepter les contrats de licence affichés.
Figure 11. contrat de licence
Les modules peuvent nécessiter des paramètres pour leur installation ou leur fonctionnement.
Figure 12. paramètres du module
L'installation de Dynacase Core (exemple ci-dessus) requiert les paramètres suivants :
Nom du paramètre | Description |
---|---|
client name | information affichée sur la page d'authentification Dynacase |
database postgresql service name | le nom du service postgresql pour accéder à la base dédiée pour ce contexte |
authenticate default mode | mode d'authentification par défaut : “html” pour l'authentification par une page HTML et “basic” pour une authentification par le mécanisme HTTP Basic |
output representation of date in database | le format de représentation des dates en base de données |
temporary folder | chemin du répertoire où seront stockés les fichiers temporaires |
admin password | mot de passe du compte super administrateur admin
|
enable compression | compression des données avec le module Apache mod_deflate
|
À la fin de l'installation, les modules installés sont présentés dans la section “Installed”.
Figure 13. fin de l'installation
Lors de la sélection d'un contexte, les sections suivantes sont présentées :
La section “Informations” présente les informations et la configuration générale du contexte.
Champ | Description |
---|---|
Root | le chemin d'accès au répertoire dans lequel est installé le contexte. |
Description | description du contexte. |
Url | URL d'accès |
Registration | vous pouvez consulter les informations enregistrées. Si Dynacase Control est déclaré avec votre compte EEC, vous pouvez demander l'enregistrement de ce contexte. |
Repositories | liste les dépôts utilisée pour installer ou mettre à jour les modules |
de plus, les actions suivates sont disponibles au travers des boutons :
Cette section présente la liste des modules qui sont installés dans le contexte. Lorsqu'un module a une mise-à-jour de disponible sur les dépôts de paquets, une icone apparaît en début de ligne d'un module et la nouvelle version disponible est présentée dans la colonne Available Version. Pour mettre à jour le module, il faut alors cocher la ligne du module et cliquer sur le bouton [Upgrade Selection].
La section “Available” présente la liste des modules disponibles sur les dépôts de paquets. Vous pouvez cocher les modules que vous souhaitez installer dans le contexte, et lancer l'installation en cliquant sur le bouton [Install Selection].
Une archive de contexte contient tous les éléments d'un contexte (base de donnée, fichiers, etc.) Ces archives peuvent permettre la restauration d'un contexte sur une autre machine.
Attention : Cette fonctionnalité ne doit pas se substituer à une sauvegarde réguière de vos données. c'est une commodité de développement (voir Les procédures d'exploitation).
Lors de l'utilisation du bouton [archivage], un assistant s'ouvre pour vous permettre de créer une archive.
Figure 14. Archivage
Il vous demande les éléments suivants :
Champ | Description |
---|---|
Name | Nom de l'archive |
Description | Description de l'archive |
Exclude Vault | Si cette case est cochée, l'archive générée ne contiendra pas les fichiers du vault |
Le fichier généré sera une archive avec l'extension .fcz
et stocké dans le sous-répertoire archived-contexts
de dynacase-control. Cette archive contiendra :
Les archives .fcz
présentes dans le sous-répertoire archived-contexts
de dynacase-control sont présentés dans la section "Archives" de l'interface de dynacase-control, sous la liste "Context".
Pour restaurer une archive il faut cliquer sur le bouton [Create Context] et remplir les informations demandées :
Champ | Description |
---|---|
Root | Le chemin d'accès du répertoire dans lequel les fichiers du contexte seront restaurés. |
Core Database Service | Le nom du service PostgreSQL dans lequel sera restauré le dump de la base de données. |
Vault Root | Le chemin d'accès du répertoire dans lequel les fichiers du vault seront restaurés. |
Notes :
CORE_TMPDIR
, ou
FREEDOM_UPLOADDIR
, référence un répertoire à l'extérieur du répertoire du
contexte, alors sa valeur est réinitialisée à sa valeur initiale (i.e.
./var/tmp
).Un contexte peut être supprimé via Informations
> Delete context
. Une
demande de confirmation est alors affichée afin de confirmer ou non l'exécution
de l'opération.
La suppression d'un contexte comporte deux phases :
La suppression "physique" d'un contexte supprime dans l'ordre les éléments suivants :
FREEDOM/freedom.conf
.Si la suppression d'un de ces éléments retourne une erreur, l'opération de suppression se poursuit avec les éléments suivants, et à la fin de l'opération un récapitulatif des erreurs rencontrés est affiché.
À la fin de l'opération de suppression "physique" (qu'il y ait eu des erreurs ou non), le contexte est alors supprimé "logiquement" de la liste des contextes gérés par dynacase-control.
La procédure d'enregistrement d'un contexte peut vous être demandée dans le cadre du support EEC.
Informations
> Registration
> Show configuration
.Figure 15. Informations d'enregistrement du contexte
Informations
> Registration
> Download configuration
.Les informations collectées sont :
uname -a
) du serveur ;La sauvegarde se différencie de l'archivage par le fait que la sauvegarde est une opération effectuée par le service d'exploitation système, et qu'il peut s'intégrer plus facilement dans les procédures mises en place par le service informatique.
Ce chapitre va donc présenter quels sont les éléments de Dynacase à sauvegarder sur un serveur afin de pouvoir remonter ces éléments en cas de perte totale de ce serveur.
Les éléments à sauvegarder sont les suivants :
La sauvegarde se déroulera selon les étapes suivantes:
La sauvegarde de dynacase-control permet de sauvegarder les "méta-données" du contexte (la liste des modules installés dans ce contexte avec leur version).
tar zcf /backup/dynacase-control.tar.gz /var/www/dynacase-control
Si vous avez des archives de contextes et que vous ne souhaitez pas les
sauvegarder ou bien vous souhaitez réduire le temps ou la taille de la
sauvegarde de dynacase-control, vous pouvez alors exclure ces archives en ne
sauvegardant pas les fichiers contenus dans le sous-répertoire
archived-contexts
:
tar zcf /backup/dynacase-control.tar.gz --exclude archived-contexts/\* /var/www/dynacase-control
Note :
Afin d'assurer l'intégrité des données, l'accès au contexte sera bloqué afin que les utilisateurs ne puissent pas modifier les données durant le déroulement de la sauvegarde.
Pour cela il faudra lancer le script ./wstop
dans le contexte Dynacase qu'on
sauvegarde :
/var/www/dynacase-control/wiff context <nomDuContexte> exec ./wstop
La sauvegarde de la base de données s'effectue par un dump complet à l'aide de
la commande pg_dump
:
PGSERVICE=dynacase pg_dump | gzip > /backup/dynacase.pg_dump.gz
Le répertoire du contexte contient des fichiers et des répertoires qui peuvent
être sauvegardés de manière standard avec des outils comme tar
:
tar zcf /backup/dynacase.context.tar.gz /var/www/dynacase
Afin de réduire la durée de sauvegarde vous pouvez exclure les éléments générés dynamiquement.
Ces éléments sont :
var/cache
: sous-répertoire contenant des fichiers de cache.var/session
: sous-répertoire contenant les sessions.var/tmp
: sous-répertoire par défaut des fichiers
temporaires.var/upload
: sous-répertoire de stockage des archives
importées.Vous pouvez aussi effectuer une sauvegarde incrémentale des fichiers du répertoire du contexte.
Si vous avez conservé le vault dans son emplacement par défaut (par défaut dans
le sous-répertoire vaultfs
à la racine du contexte), alors le vault sera
inclut dans la sauvegarde du répertoire applicatif du contexte ci-dessus.
Si vous avez déplacé le vault dans un répertoire distinct (ou que vous l'avez exclu de la sauvegarde du contexte ci-dessus), alors il vous faudra le sauvegarder de manière distincte.
Le vault, comme le répertoire du contexte, peut être sauvegardé avec des outils
standards comme tar
:
tar zcf /backup/dynacase.vault.tar.gz /data/vault
Une sauvegarde incrémentale est aussi possible pour ce répertoire.
Une fois les éléments sauvegardés, l'accès au contexte peut-être réouvert à
l'aide du script wstart -m
:
/var/www/dynacase-control/wiff wstart <nomDuContexte>
L'ordre de restauration des éléments s'effectue de manière inverse à leur sauvegarde :
Restauration des fichiers précédemment archivés :
tar -C / -zxf /backup/dynacase.vault.tar.gz
Restauration des fichiers du contexte :
tar -C / -zxf /backup/dynacase.context.tar.gz
Re-créer la base de données avec les paramètres PostgreSQL adéquats :
standard_conforming_strings
positionné à off
DateStyle
positionné à ISO, DMY
ALTER DATABASE dynacase SET standard_conforming_strings = off; ALTER DATABASE dynacase SET DateStyle = 'ISO, DMY';
Restaurer le dump de la base :
gzip -dc /backup/dynacase.pg_dump.gz | PGSERVICE=dynacase psql
Note : Pour accélerer le chargement des données, vous pouvez consulter la section Bulk data loading pour un exemple de paramétrage de Postgresql.
Réenregistrer la crontab de Dynacase :
/var/www/dynacase-control/wiff context <nomDuContexte> exec ./wsh.php --api=crontab --cmd=register --file=FREEDOM/freedom.cron
Si votre application possède ses propres crontab, il faudra alors réenregistrer ses crontabs :
/var/www/dynacase-control/wiff context <nomDuContexte> exec ./wsh.php --api=crontab --cmd=register --file=MON_APP/ma_crontab.cron
Comme la sauvegarde a été effectué en mode maintenance (wstop
), il faut à la
fin réouvrir l'accès avec ./wstart -m
:
/var/www/dynacase-control/wiff context <nomDuContexte> exec ./wstart -m
tar -C / -zxf /backup/dynacase-control.tar.gz
Si la restauration s'effectue sur une machine différente de celle sauvegardée, c'est-à-dire que les chemins d'accès aux fichiers ou que le service de base de données sont différents, il faudra alors modifier les éléments restaurés pour refléter ces changements.
Les éléments qui référencent des chemins ou service de base de données dépendant de la machine sont décrits ci-dessous.
Le chemin d'accès à la racine du contexte est référencé dans les fichiers suivants :
dynacase-core >= 3.2.21
:supervisor/.htaccess
AuthUserFile
"/path/to/context/supervisor/.htpasswd"
avec la nouvelle racine du
contexte..htaccess
php_value session.save_path
"/path/to/context/var/session"
avec la nouvelle racine du contexte.dynacase-core < 3.2.21
:supervisor/.htaccess
AuthUserFile
"/path/to/context/supervisor/.htpasswd"
avec la nouvelle racine du
contexte..htaccess
php_value session.save_path
"/path/to/context/var/session"
avec la nouvelle racine du contexte.WHAT/Lib.Prefix.php
$pubdir = '/path/to/context';
avec la nouvelle
racine du contexte.CORE_PUBDIR
Modifier la valeur du paramv CORE_PUBDIR
avec la nouvelle racine du
contexte.
UPDATE paramv SET val ='/path/to/context' WHERE name = 'CORE_PUBDIR'
Le chemin d'accès à la racine du vault est référencé en base de données :
vaultdiskfsstorage
, colonne r_path
Modifier le chemin r_path
de la table vaultdiskfsstorage
avec le nouvel
emplacement du vault.
UPDATE vaultdiskfsstorage SET r_path = '/new/path/to/vaultfs' WHERE r_path = '/old/path/to/vaultfs';
Le nom du service de la base de donnée est référencée dans les fichiers suivants :
dynacase-core >= 3.2.21
:config/dbaccess.php
$pgservice_core = 'pgServiceName';
et
$pgservice_freedom = 'pgServiceName';
avec le nouveau nom du service de
base de données.dynacase-core < 3.2.21
:config/dbaccess.php
$pgservice_core = 'pgServiceName';
et
$pgservice_freedom = 'pgServiceName';
avec le nouveau nom du service de
base de données.Le nom du service de base de données est aussi référencée dans la base de données elle même :
CORE_DB
, FREEDOM_DB
et WEBDAV_DB
Modifier la valeur des paramv CORE_DB
, FREEDOM_DB
et WEBDAV_DB
avec
le nouveau nom du service de base de données.
UPDATE paramv SET val = 'service=''' || 'newPgServiceName' || '''' WHERE name IN ('CORE_DB', 'FREEDOM_DB', 'WEBDAV_DB');
Le nom d'hôte de la machine peut être référencé dans la base de données :
CORE_URLINDEX
Si ce paramètre est renseigné, modifier la valeur avec la nouvelle URL.
UPDATE paramv SET val = 'http://newURL/xxx' WHERE name = 'CORE_URLINDEX';
CORE_OPENURL
Si ce paramètre est renseigné, modifier la valeur avec la nouvelle URL.
UPDATE paramv SET val = 'http://newOpenURL/xxx' WHERE name = 'CORE_OPENURL';
TE_INDEXURL
Si ce paramètre est renseigné, modifier la valeur avec la nouvelle URL.
UPDATE paramv SET val = 'http://newTeCallbackURL/xxx' WHERE name = 'TE_INDEXURL';
Une liste de vérification de problèmes pouvant se produire sur une installation
Dynacase est disponible dans le sous-répertoire supervisor/
du contexte et
accessible par l'URL : http://<nomDuServeur>/supervisor/, rubrique DB
consistency.
L'interface présente alors une liste de vérification avec un statut :
Liste des vérifications :
main connection db
dateStyle
unreferenced user in group
Vérifie les inconsistances de la table groups
vis à vis des utilisateurs.
La table groups
contient les liens entre les utilisateurs et les groupes,
dans certains cas des utilisateurs supprimés peuvent persister dans cette
table.
Solution : Supprimer les références erronées
DELETE FROM groups WHERE iduser NOT IN (SELECT id FROM users);
user as group
Par exemple user as group1 users detected as group 25
. Peut arriver par
un import SQL qui écraserait les utilisateurs. Peut aussi provenir de
groupes supprimés qui n'existe plus dans la table users
.
Solution : Soit mettre les utilisateurs comme groupe (mettre l'attribut
isgroup
à Y
dans la table users
) ou supprimer la référence dans la
table groups
, puis rafraîchir la table users
:
dynacase=# BEGIN; dynacase=# DELETE FROM groups WHERE idgroup NOT IN (SELECT id FROM users WHERE isgroup='Y'); DELETE 110 dynacase=# COMMIT; COMMIT
puis :
/var/www/dynacase-control/wiff context <nomDuContexte> exec ./wsh --api=freedom_groups
unreference actions
peut arriver lors de la suppression d'applications.
Solution : Appliquer le fichier SQL /var/www/dynacase/WHAT/what_clean.sql
sur la base principale.
unreference parameters
peut arriver lors de la suppression d'applications
Solution : Appliquer le fichier SQL /var/www/dynacase/WHAT/what_clean.sql
sur la base principale.
unreference acl
peut arriver lors de la suppression d'applications
Solution : Appliquer le fichier SQL /var/www/dynacase/WHAT/what_clean.sql
sur la base principale.
unreference permission
peut arriver lors de la suppression d'applications
Solution : Appliquer le fichier SQL /var/www/dynacase/WHAT/what_clean.sql
sur la base principale.
double doc id
Plusieurs documents ont le même identifiant numérique. Peut arriver lors d'importation avec des identificateurs fixe ou lors d'importation avec des familles inexistantes.
Exemple :
1 double id detected Array ( [1178] => 2 )
Solution : Supprimer l'un des doublons (ou les deux)
Obtenir la liste des identifiants posant problème :
dynacase=# SELECT id,COUNT(*) FROM doc GROUP BY id HAVING COUNT(*) > 1; id | COUNT ------+------- 1178 | 2
Obtenir le détail des enregistrements posant problème :
dynacase=# SELECT id, title, fromid, locked FROM doc WHERE id = 1178; id | title | fromid | locked ------+-----------------+--------+-------- 1178 | Fiche de suivi | 0 | 0 1178 | Dossier EI auto | 1169 | 0
Suppression de l'enregistrement incorrect :
dynacase=# DELETE FROM doc WHERE id = 1178 AND fromid = 0; DELETE 1
double doc name
plusieurs documents ont le même identifiant logique (propriété name
)
Solution : Supprimer l'un des doublons (ou les deux)
family inheritance
L'héritage déclaré par la famille ne correspond pas à celle défini dans postgresql. Peut arriver si on change l'héritage d'une famille ou si une famille est créée avant sa famille père.
Exemple :
Family [44232]: fromid = 0, pg inherit= Family [44237]: fromid = 0, pg inherit= Family [44241]: fromid = 0, pg inherit= …
Solution : restaurer l'héritage
Identifier les enregistrement posant problème :
dynacase=# SELECT id, title, fromid, locked, doctype FROM doc WHERE fromid = 0 AND doctype IS NULL; id | title | fromid | locked | doctype -------+-------+--------+--------+--------- 44232 | | 0 | 0 | 44237 | | 0 | 0 | 44241 | | 0 | 0 | …
Supprimer les enregistrements :
dynacase=# DELETE FROM doc WHERE fromid = 0 AND doctype IS NULL; DELETE 14
Ou supprimer la table correspondante et lancer :
# /var/www/dynacase-control/wiff context <nomDuContexte> exec ./wsh --api=fdl_adoc --docid=<N°famille>
multiple alive revision
Plusieurs révisions sont vivantes pour un même document. Cela peut arriver sur d'ancienne version (< 2.14) lorsque deux tentatives de révisions simultanées sont créés ou si par programmation on force des restauration.
Exemple :
2 multiple alive Array ( [73780] => jean-raymond.durand@example.net [85480] => Restauration groupe test )
Solution : utiliser l'API fixMultipleAliveRevision
Obtenir le détail des enregistrements posant problème :
dynacase=# SELECT id, title FROM docread WHERE id IN (SELECT m AS id FROM (SELECT MIN(id) AS m, initid, COUNT(initid) AS c FROM docread WHERE locked != -1 AND doctype != 'T' GROUP BY docread.initid) AS z WHERE z.c > 1); id | title -------+----------------------------------------------------- 73780 | jean-raymond.durand@example.net 85480 | Restauration groupe test (2 lignes)
API fixMultipleAliveRevision :
# /var/www/dynacase-control/wiff context <nomDuContexte> exec ./wsh.php --api=fixMultipleAliveRevision Fixing mutiple alive revision for (initid='35198', id='85480') Fixing mutiple alive revision for (initid='56405', id='73780')
attribute type
attribute orphan
Vérifie la cohérence entre la liste des attributs logiques Dynacase
déclarés pour une famille et les colonnes physiques de la table docXXX
pour cette famille.
Cette vérification détecte donc les colonnes de la table docXXX
d'une
famille qui ne correspondent pas, ou plus, à un attribut de cette famille
(table docattr
).
Solution : appliquer les requêtes SQL données en résultat pour supprimer
les colonnes physiques des tables docXXX
des familles ayant cette
incohérence.
cleanContext cron job execution
Vérifie que la crontab de Dynacase est correctement exécutée en vérifiant
qu'il n'existe pas de documents temporaires plus vieux de 1 jour. La
présence de documents temporaires plus vieux de 1 jour peut indiquer que la
crontab n'est soit pas bien enregistrée, soit que le mécanisme cron
général est défaillant.
Solution : vérifier les points indiquer dans le résultat de la vérification.
missing documents in docread
Vérifie s'il y a des documents dans la table doc
qui ne sont pas présents
dans la table de "cache" docread
.
Solution : mettre à jour les documents pour qu'ils soient insérés dans la table de "cache" docread
.
dynacase=# UPDATE doc SET id = id WHERE id < 1e9 AND NOT EXISTS (SELECT 1 FROM docread WHERE docread.id = doc.id);
spurious documents in docread
Vérifie s'il y a des documents dans la table de "cache" docread
qui
n'existent plus dans la table doc
.
Solution : supprimer les documents qui n'existent plus dans la table de "cache" docread
.
dynacase=# DELETE FROM docread WHERE id < 1e9 AND NOT EXISTS (SELECT 1 FROM doc WHERE docread.id = doc.id);
missing family name
Vérifie s'il existe des familles dont le nom logique n'existe pas dans la
table docfam
ou qui est mal référencé dans les tables docname
et
docread
.
Exemple :
• 1 unnamed family in docfam: {17087}
Solution :
Mettre à jour le nom de la famille :
dynacase=# UPDATE docfam SET name = 'NOM_DE_LA_FAMILLE' WHERE id = <id-famille-sans-nom>;
Puis, lancer un cleanContext
:
$ ./wsh.php --api=cleanContext
Si dynacase-workspace
est installé, les vérifications additionnelles
suivantes sont faites :
connection db webdav
webdav
(si le module WORKSPACE
est
installé)Si dynacase-networkuser
est installé, les vérifications additionnelles
suivantes sont faites :
connection USER LDAP
NETWORKUSER
est installé)Si la machine sur laquelle est installé Dynacase n'a pas accès à Internet, vous pouvez créer un miroir local HTTP/FTP du dépôt de paquets en ligne.
$ mkdir /var/www/mirror $ cd /var/www/mirror $ wget --mirror --level=1 --no-parent "http://dynacase.anakeen.com/control/?F=0" # dynacase-control $ wget --mirror --level=1 --no-parent --http-user=${EEC_USERNAME} --http-password=${EEC_PASSWD} "${EEC_REPO_URL}/?F=0" # Votre dépôt EEC Dynacase $ wget --mirror --level=1 --no-parent "http://ftp.dynacase.org/third-party/?F=0" # third-party elements
Les paquets du dépôt EEC font référence à des éléments additionnels téléchargés sur http://ftp.dynacase.org (dépôt third-party elements). Pour pouvoir être installés depuis le miroir il faut donc modifier ces paquets pour y inscrire la nouvelle racine pour le téléchargement de ces éléments additionnels.
Pour cela, dynacase-control fournit l'outils sedwebinst.php
dans le sous-répertoire utils
du répertoire d'installation de dynacase-control.
Cet outils prend 3 arguments qui sont :
$ php /var/www/dynacase-control/utils/sedwebinst.php \ http://ftp.dynacase.org/third-party \ http://localhost/mirror/ftp.dynacase.org/third-party \ /var/www/mirror/eec.anakeen.com/$EEC_USERNAME/
Configurer ensuite votre serveur Web pour servir ce répertoire mirror
, et configurer un dépôt pointant sur ce répertoire (voir la gestion des dépôts).
Ajuster ensuite les paramètres wiff-update-host et wiff-update-path de l'installeur Dynacase-control pour chercher les mises-à-jour de l'installeur sur ce nouveau dépôt (voir la configuration des mises-à-jour de Dynacase Control).
Les logs de Dynacase sont gérés au moyen de syslog.
Dynacase logue par défaut tous ses messages avec la facilité LOG_LOCAL6, à l'exception des erreurs d'authentification, qui sont journalisées avec la facilité LOG_AUTH (à moins que vous ayiez changé cette valeur au moyen du paramètre applicatif AUTH_LOGFACILITY).
Le formatage des logs suit la règle suivante: [<code>] Dynacase <application> <fonction> <message>, avec :
Après chaque exécution de procédures automatiques (cron), des logs sont enregistrés dans le syslog. Ils contiennent le titre et l'id du processus exécuté, ainsi que le statut de l'exécution (0 en cas de succès) et le temps d'exécution de la procédure:
Aug 30 10:18:15 pc-de-test [I] Dynacase:CORE:WELCOME: [] Default Master [1] - : Process FDL IMPCARD [3355] executed in 1.005 seconds
Le même système est en place à chaque exécution de timer (minuteur).
L'api dynacaseDbCleaner produit, elle aussi, des logs. Ces logs sont de la forme:
Aug 27 09:25:55 ubuntu1004server dynacaseDbCleaner(CORE_CLIENT): DELETE 0 Aug 27 09:25:55 ubuntu1004server dynacaseDbCleaner(CORE_CLIENT): Temps : 3,868 ms
Chaque commande sql lancée par le dynacasDbCleaner est enregistrée. Le nom du client (paramétré à la configuration) est affiché à la place de CORE_CLIENT.
Les premières versions de Freedom et Dynacase étaient hébergés sur des serveurs du domaine freedom-ecm.org.
Suite au changement de nom, ce domaine n'est plus valide et vous ne devez plus utiliser de dépôts de paquets qui font référence à ce domaine.
Pour supprimer les références à ces anciens dépôts de paquets, vous pouvez soit les supprimer manuellement, soit utiliser le script utils/remove_freedom_ecm_repos.php
fourni avec les dernières versions de dynacase-control pour supprimer automatiquement ces dépôts.
Le script fonctionne en mode notification (pour vous informer de la présence de dépôts invalides) ou en mode suppression (pour supprimer les dépôts invalides rencontrés).
Mode notification (mode par défaut) :
# cd /var/www/dynacase-control # php utils/remove_freedom_ecm_repos.php * Inspecting repository list... Found invalid repository 'invalid1' with host 'ftp.freedom-ecm.org'. Found invalid repository 'invalid2' with host 'ftp.freedom-ecm.org'.
Re-run with '--remove' argument to remove the invalid repositories.
Mode suppression (option --remove
) :
# cd /var/www/dynacase-control # php utils/remove_freedom_ecm_repos.php --remove * Inspecting repository list... Found invalid repository 'invalid1' with host 'ftp.freedom-ecm.org'. Found invalid repository 'invalid2' with host 'ftp.freedom-ecm.org'. * Deactivating repository 'invalid1' on context 'c1'. Done. * Deactivating repository 'invalid1' on context 'c2'. Done. * Deactivating repository 'invalid2' on context 'c2'. Done. * Deleting repository 'invalid1'. Done. * Deleting repository 'invalid2'. Done.
Les répertoires de cache et de fichiers temporaires sont localisés dans le
sous-répertoire var
du contexte Dynacase.
Le sous-répertoire var
contient les répertoires suivants :
cache/file/
cache/image/
session/
tmp/
./var/tmp
du paramètre applicatif
CORE CORE_TMPDIR
et FREEDOM_UPLOADDIR
) ;upload/
Dans le cadre de son utilisation avec Dynacase, une couche d’abstraction logicielle Dynacase sur PostgreSQL permet d’optimiser son utilisation. Les éventuels tuning de la base PostgreSQL dépendent entièrement du modèle documentaire mis en œuvre par Dynacase. Ils sont réalisés ou préconisés si nécessaire lors de la mise en œuvre de la solution par un expert Anakeen.
La plupart des distributions livrent PostgreSQL avec une configuration basique, passe-partout, qui n'est pas forcement adaptée au volume et au nombre de transactions que peut générer Dynacase. Voici quelques éléments de configuration pour une machine type avec 2 Go à 3 Go de RAM.
Le paramètre shared_buffers permet de spécifier la taille de la mémoire partagée allouée par Postgresql.
Il est à noter que ce paramètre PostgreSQL dépend d'un paramètre du kernel qui indique la valeur maximale de mémoire partagée disponible pour les processus. Il faudra donc au préalable augmenter la valeur de ce paramètre au niveau du noyau, pour ensuite augmenter la valeur dans PostgreSQL.
Sous Linux, la taille de la mémoire partagée maximale autorisée est définie par le paramètre sysctl kernel.shmmax :
# sysctl kernel.shmmax kernel.shmmax = 33554432
On voit dans ce cas que la valeur est de 32 Mo Sur une machine dédiée à PostgreSQL avec 2 à 3 Go de RAM on alloue entre 1 et 2 Go de mémoire partagée utilisable par les process :
# sysctl -w kernel.shmmax=2147483648 kernel.shmmax = 2147483648
Pour rendre ce paramètre persistant au redémarrage, on enregistre celui-ci dans le fichier /etc/sysctl.conf
.
Une fois le shmmax configuré sur le kernel, on définit le paramètres PostgreSQL shared_buffers.
# vi /var/lib/pgsql/data/postgresql.conf […] shared_buffers = 1024MB […]
La prise en compte de ce paramètre est effective après re-démarrage de PostgreSQL :
# /etc/rc.d/init.d/postgresql restart
Si Postgresql ne redémarre pas, vérifier que la valeur de shared_buffers est bien inférieure à la valeur de kernel.shmmax.
Le paramètre effective_cache_size indique à PostgreSQL la mémoire restante une fois que PostgreSQL et tous les autres process du serveur tournent en fonctionnement normal. Cet espace "libre" est utilisé par le noyau pour gérer ses buffers et son cache. Cet espace est visualisable sous Linux avec la commande free sous la forme des valeurs de buffers et cached :
# free total used free shared buffers cached Mem: 3095688 1932116 1163572 0 62524 1433776 -/+ buffers/cache: 435816 2659872 Swap: 1044208 89816 954392
Dans le cas ci-dessus, on peut donc indiquer à PostgreSQL une valeur de effective_cache_size de 1400 Mo :
# vi /var/lib/pgsql/data/postgresql.conf […] effective_cache_size = 1400MB […]
Le paramètre work_mem spécifie la quantité de mémoire que peut utiliser un process PostgreSQL pour effectuer des tris. Une valeur plus grande lui permettra de pouvoir manipuler plus de données en mémoire vive (plutôt que d'avoir recours à des fichiers temporaires qui sont plus lents).
Ce paramètre doit être calibré en fonction du nombre maximum de connexions concurrentes déclaré par le paramètre max_connections. La mémoire allouée pour ces opérations étant alors égale à max_connections * work_mem.
# vi /var/lib/pgsql/data/postgresql.conf […] max_connections = 64 […] work_mem = 16Mb […]
Dans l'exemple ci-dessus, l'utilisation mémoire pourra monter à 64 * 16 Mo = 1 Go.
Le paramètre maintenance_work_mem spécifie la quantité de mémoire que peuvent utiliser les commandes/process PostgreSQL de VACUUM, création d'index et altération de table. Une valeur plus grande lui permettra de pouvoir manipuler plus de données en mémoire vive, et accélèrera le temps de traitement sur les VACUUM (freedom_clean) par exemple.
vi /var/lib/pgsql/data/postgresql.conf […] maintenance_work_mem = 128Mb […]
Le mécanisme de WAL (Write Ahead Log) est le mécanisme utilisé par Postgresql pour gérer les modifications des données de la base et assurer l'intégrité de la base de données en cas de crash du serveur.
Lorsqu'une donnée est modifiée, l'opération est d'abord enregistrée dans un fichier WAL sur le disque. Ensuite, de manière asynchrone, les opérations contenues dans les fichiers WAL sont écrites de manière définitive sur la base de données.
Suite à un crash, au redémarrage, le serveur Postgresql rejouera alors les opérations des fichiers WAL qui ne sont pas encore inscrites en base pour mettre à niveau la base de données.
Le paramètre wal_buffers spécifie la taille d'un fichier de journal d'écriture "WAL" (Write-Ahead-Log).
Par défaut, la taille d'un WAL est de 64KB
. Une petite valeur entraînera des écritures de petits fichiers WAL plus fréquentes, et une grande valeur entraînera des écritures de fichiers WAL de plus gros volume mais avec une fréquence moindre.
Il est admis qu'une valeur de 16MB
est une bonne valeur pour un serveur de production :
wal_buffers = 16MB
Le paramètre checkpoint_segments spécifie le nombre de fichiers WAL qui sont conservés, en rotation, sur le disque.
Une grand nombre de checkpoint_segments
réduit le nombre d'écritures sur la base de données, mais en cas de crash du serveur, cela fera un plus gros volume de données à rejouer lors du redémarrage du serveur pour qu'il remette sa base à niveau avec les derniers fichiers checkpoints.
Le paramètre checkpoint_timeout spécifie le temps maximal qu'un fichier WAL peut rester sur le disque avant d'être inscrit de manière définitive dans la base de données.
Le paramètre checkpoint_completion_target permet quand à lui de spécifier la périodicité d'écriture des fichiers WAL sur la base de données. Il permet de répartir les écritures des fichiers WAL au cours du temps et d'éviter d'avoir des pics d'écritures lorsque les fichiers WAL atteignent leur limite de temps au même moment.
Une estimation du nombre de fichiers WAL stockés sur le disque est donné par la formule suivante :
number of WAL files = ( 2 + checkpoint_completion_target ) * checkpoint_segments + 1
Les valeurs suivantes sont admises comme étant un bon compromis entre la réduction du nombre d'écritures sur la base et le temps de reprise en cas de crash.
checkpoint_segments = 32
checkpoint_timeout = 5min
checkpoint_completion_target = 0.9
Le volume occupé par les fichiers WAL sera alors approximativement de 1.5GB.
Dans le cas de la restauration d'une base de donnée, ou du chargement massif de données, ces paramètres de WAL peuvent être augmentés afin de réduire le nombre d'opérations d'écritures sur la base de donnée, moyennant une utilisation d'un plus grand volume par les fichiers WAL.
checkpoint_segments = 300
checkpoint_timeout = 3000
autovacuum = off
Attention : Ces paramètres ne doivent pas être utilisés en production, mais seulement temporairement pour la durée de l'opération de chargement/restauration des données.
Ces paramètres permettent donc de donner une plus grande liberté de mouvement à PostgreSQL comparés à ceux livrés par défaut. Les valeurs données ci-dessus sont des exemples qu'il faudra bien sûr adapter/moduler en fonction de la machine et de son utilisation dans le temps.
Pour voir les requêtes en cours d'exécution, Postgresql dispose de la table pg_stat_activity :
postgres=# SELECT * FROM pg_stat_activity; datid | datname | procpid | usesysid | usename | application_name | client_addr | client_port | backend_start | xact_start | query_start | waiting | current_query --------+----------+---------+----------+----------+------------------+-------------+-------------+-------------------------------+-------------------------------+-------------------------------+---------+--------------------------------- 11874 | postgres | 40516 | 10 | postgres | psql90 | | -1 | 2011-01-17 11:49:52.022024+01 | 2011-01-17 11:53:43.766623+01 | 2011-01-17 11:53:43.766623+01 | f | SELECT * FROM pg_stat_activity; 207531 | 3.0.16 | 40570 | 16391 | freedom | | ::1 | 57914 | 2011-01-17 11:50:28.902947+01 | | 2011-01-17 11:51:30.213533+01 | f | VACUUM FULL ANALYSE; (2 ROWS)
Cette table présente le détail des requêtes en cours d'exécution :
La visualisation du champ current_query nécessite le paramètre track_activities = on (par défaut à on).
Si ce paramètre n'était pas actif, vous pouvez le définir dans postgresql.conf
et recharger la conf à chaud :
Modification de la configuration :
# vi /path/to/postgresql.conf
…
track_activities = on
…
rechargement de la configuration :
SELECT pg_reload_conf(); SHOW track_activities;
Lorsque l'observation de longues requêtes par pg_stat_activity n'est pas possible
(parce que le problème n'est pas reproductible ou observable à une heure précise de la journée par exemple),
on peut indiquer à Postgresql de logger les requêtes qui mettent plus N secondes à s'exécuter.
La durée est paramétrable via le paramètre log_min_duration_statement
(par défaut '-1' : désactive le log). Vous pouvez soit le définir en global dans postgresql.conf
, soit par base de données (via un ALTER DATABASE) :
Configuration globale commune à toutes les bases (ex. 5 minutes) :
vi /path/to/postgresql.conf … log_min_duration = 5min …
rechargement de la configuration :
SELECT pg_reload_conf();
Paramétrage sur une base spécifique
ALTER DATABASE dynacase SET log_min_duration_statement = '5min';
Les logs apparaissent alors dans postgresql.log
sous la forme :
2011-01-11 17:15:01 CET LOG: duration: 2.291 ms statement: SELECT * from paramv where type='G' or (type='A' and appid=1);
Utilisation de la directive 'sslmode=require' dans pg_service.conf
pour forcer la connexion du client par SSL :
[dynacase] host=pg.example.net port=5432 user=dynacase password=secret dbname=dynacase sslmode=require
L'utilisation du SSL entraîne une surcharge lors de l'établissement d'une connection TCP sur PostgreSQL.
Exemple de surcharge pour l'initiation d'une connexion par TCP sur un serveur PostgreSQL en écoute sur l'interface locale de la machine (127.0.0.1) :
. .--------------------------------. | Temps pg_connect sur 127.0.0.1 | ,---------------------------+--------------------------------| | sslmode=disable | + 0 ms | | sslmode=require (default) | + 15 ms | '------------------------------------------------------------' (Mesuré avec 1 x CPU Intel Core 2 Duo CPU T8300 @ 2.40GHz)
L'utilisation du SSL entraîne aussi une surcharge de traitement pour l'envoi du résultat au client. Cette surcharge de traitement est proportionnelle au volume de données à envoyer et donc à chiffrer.
Exemple de surcharge pour le transfert des N premiers éléments d'une table conmposée d'une colonne de type integer (requête SELECT * FROM foo LIMIT <N>
) :
. .------------------------. | Temps requête avec SSL | ,-------------+------------------------| | LIMIT 10 | + 0,0551 ms | | LIMIT 100 | + 0,0729 ms | | LIMIT 1000 | + 0,401 ms | | LIMIT 10000 | + 6,863 ms | `--------------------------------------' (Mesuré avec 1 x CPU Intel Core 2 Duo CPU T8300 @ 2.40GHz)
Conclusion :
Si le réseau entre le serveur Dynacase et la base de données est « sûr », et si le niveau de sécurité souhaité le permet, il peut être avantageux en terme de performance de désactiver le support SSL.
La principale directive du mode MPM-Prefork de Apache est la directive MaxClients qui permet de configurer le nombre maximum de clients connectés et servis simultanément.
La valeur de ce paramètre dépend donc du nombre souhaité de clients servis en concurrent, mais aussi de la capacité du serveur : trop de processus Apache concurrents risquent d'entrainer une surcharge mémoire et forcer le système à utiliser son swap ce qui dégradera les temps de traitement.
L'utilisation mémoire depend de l'application qui est exécutée et doit donc être mesurée par l'exécution d'un scénario type par exemple.
Pour Journaliser l'utilisation mémoire de vos requêtes PHP vous pouvez insérer le log de la variable %{mod_php_memory_usage}n
dans le LogFormat de votre fichier access_log
.
Exemple :
LogFormat "%h %l %u %t \"%r\" %>s %O \"%{Referer}i\" \"%{User-Agent}i\" %{mod_php_memory_usage}n" combined
Important :
Référence :
La directive keepAlive permet de réduire le nombre de connexions TCP initiés par les clients HTTP, et donc de réduire l'utilisation CPU de l'OS et du serveur Apache.
Le client pourra ainsi effectuer N requêtes (l'une à la suite de l'autre) sur cette même connexion TCP sans devoir faire N nouvelles connexions TCP pour chacune des requêtes.
Exemple :
KeepAlive On
Référence :
Outre le fait de servir des requêtes, le serveur Apache journalise des informations dans les fichiers access.log
et error.log
.
Lors de l'écriture d'entrées dans ces fichiers, le serveur Apache peut résoudre les adresses IP des clients connectés et inscrire leur nom DNS à la place de leur adresse IP.
Ces résolutions DNS prennent généralement du temps et il est donc recommandé de désactiver cette fonctionnalité :
HostnameLookups Off
Le fait que ces fichiers access.log
et error.log
soient stockés par défaut localement sur le serveur Web peut entrainer une surcharge sur la machine : un nombre important de requêtes entrainera un nombre important d'opérations d'écritures de messages dans ces fichiers.
Il peut donc être bénéfique de déplacer ces fichiers de logs sur des disques distinct afin de minimiser les E/S sur le disque des fichiers servis par le serveur Apache. L'écriture de ces logs peut aussi être déportée sur un serveur tiers via le protocole syslog.
Référence :
Le mode CLI de dynacase-control permet d'administrer les contextes Dynacase en ligne de commande.
La commande wiff
permet de manipuler et administrer les contextes Dynacase.
Les opérations actuellement accessibles à travers l'UI Web, seront accessibles
en ligne de commande à l'aide de cette commande wiff
. Cette commande doit
être lancée sous root
. Pour cela, vous pouvez soit vous logger sous le compte
root
, soit utiliser sudo
pour l'exécuter (Dans ce cas, vous pouvez
également autoriser la commande wiff sans mot de passe en éditant le fichier
sudoers).
Si vous n'êtes pas root
sur le serveur, et que les opérations
d'administrations s'effectuent avec sudo
:
$ sudo /var/www/dynacase-control/wiff help Password: ****** [message d'aide]
Si vous avez accès au compte root
sur le serveur :
# /var/www/dynacase-control/wiff help [message d'aide]
Le CLI utilise un verrou afin de se prémunir contre l'exécution concurrente de plusieurs opérations de modification (voir détails Opérations verrouillées ci-dessous).
Cette opération permet d'afficher les contextes installés.
Syntaxe :
list context [--pretty]
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff list context developpement test production
# /var/www/dynacase-control/wiff list context --pretty Name Description ----------------------------------------------------------------------------------- developpement Développement test Test production Production
control 1.5
Cette opération permet de créer un nouveau contexte.
Syntaxe :
create context <context-name> <context-root>
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff create context test /var/www/test
control 1.5
Les propriétés d'un contexte sont :
url
description
control 1.5
Cette opération permet de voir la liste des propriétés avec leur valeur.
Syntaxe :
context <context-name> property show
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff context test property show url = /test/admin.php description = Contexte de test.
control 1.5
Cette opération permet de voir la valeur d'un propriété.
Syntaxe :
context <context-name> property get <property-name>
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff test property get url url = /test/admin.php
control 1.5
Cette opération permet de modifier les propriétés d'un contexte.
Syntaxe :
context <context-name> property set <property-name> <property-value>
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff context test property set url http://www.example.net/test/ # /var/www/dynacase-control/wiff context test property set description "Ceci n'est pas un contexte de test."
control 1.5
Cette opération permet de voir/modifier la liste des dépôts de paquets utilisés par un contexte.
Les dépôts de paquets utilisables par un contexte doivent être déclarés au préalable dans dynacase-control (voir Gérer la liste des dépôts de paquets de dynacase-control ci-dessous).
control 1.5
Syntaxe :
context <context-name> repository list
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff context test repository list dynacase acme
control 1.5
Syntaxe :
context <context-name> repository enable <repo-name>
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff context test repository enable foo
control 1.5
Syntaxe :
context <context-name> repository disable <repo-name>
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff context test repository disable foo
control 1.5
Syntaxe :
context <context-name> repository disable --all
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff context test repository disable --all
control 1.5
Syntaxe :
delete context [options] <context-name>
Les options disponibles sont :
--nopre
permet de ne pas exécuter les processus de 'pre-delete' déclarés par les paquets.--force
permet de ne pas tenir compte des statuts d'échec des processus de 'pre-delete'.Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff delete context --force test
Cette opération affiche les modules installés dans le contexte sélectionné.
Syntaxe :
context <context-name> module list installed [--pretty]
Exemple :
# var/www/dynacase-control/wiff context test module list installed dynacase-fckeditor (2.6.3-7) dynacase-webdesk (1.2.2-1) dynacase-extjs (3.1.1-8) dynacase-core (3.2.5-1) dynacase-extui (0.6.4-1) dynacase-workspace (0.6.1-1) dynacase-ecm (0.3.0-1)
Cette opération affiche la liste des modules disponibles sur les dépôt de paquets accessibles par HTTP ou FTP.
Syntaxe :
context <context-name> module list available [--pretty]`
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff context test module list available dynacase-extjs (3.1.1-8) dynacase-core (3.2.5-1) dynacase-fckeditor (2.6.3-7) dynacase-freeevent (2.6.0-0) dynacase-webdesk (1.2.2-1) [...] dynacase-apisamples (0.1.3-1) dynacase-familysamples (0.1.0-2) dynacase-cas (0.0.2-1) dynacase-theme (0.0.1-4) dynacase-url (0.0.0-3)
Cette opération permet d'afficher la liste des modules installés dont une mise-à-jour est disponible sur les dépôts de paquets.
Syntaxe :
context <context-name> module list upgrade [--pretty]
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff context test module list upgrade dynacase-core (3.2.6-1)
Cette opération permet d'installer un module contenu dans un paquet local (archive .webinst stocké en local sur le serveur) ou à partir d'un paquet disponible sur un dépôt de paquets distant accessible par HTTP ou FTP.
Syntaxe :
context <context-name> module install [options] <localPackagePath> context <context-name> module install [options] <moduleName>
Les options disponibles sont :
--nopre
permet de ne pas exécuter les processus de 'pre-install' déclarés par le paquet.--nopost
permet de ne pas exécuter les processus de 'post-install' déclarés par le paquet.--nothing
permet de ne pas exécuter les processus de 'pre-install' et de 'post-install' déclarés par le paquet.--force
permet de forcer l'installation du paquet même si celui-ci est déjà installé.Exemple :
Installation d'un paquet distant :
# /var/www/dynacase-control/wiff context test module install dynacase-core Will (i)nstall, (u)pgrade, or (r)eplace the following modules: - dynacase-core-3.2.5-1.20130221.090413 (i) - dynacase-jquery-installer-1.7.2-1.20120730.134605 (i) - dynacase-jquery-ui-installer-1.8.21-2.20120817.154930 (i) - dynacase-json2-1.0.0-0.20130214.114647 (i) - dynacase-datajs-3.2.5-0.20130220.144720 (i) - dynacase-jquery-dataTables-installer-1.9.1-0.20120622.121419 (i) - dynacase-ckeditor-installer-4.0.1-0.20130213.174659 (i) Proceed with installation ? [Y/n] Processing module 'dynacase-core' (3.2.5-1.20130221.090413) for install. Downloading module 'dynacase-core-3.2.5-1.20130221.090413'... [OK] [...] Done.
Installation d'un paquet local :
# /var/www/dynacase-control/wiff context test module install /tmp/foo-1.2.3-4.webinst Processing required module 'foo' (1.2.3-4) for install. [...] Done.
Notes :
1.5
de dynacase-control, le format XML des modules est vérifié et un
avertissement est affiché si le format n'est pas conforme. Voir Format des
modules webinst et Changements par rapport à l'ancien format
pour les changements à apporter à vos fichier info.xml
de
description de module.Cette opération permet d'upgrader un module à partir d'un paquet local (archive .webinst stocké en local sur le serveur) ou à partir d'un paquet disponible sur un dépôt de paquets distant accessible par HTTP ou FTP.
Syntaxe :
context <context-name> module upgrade [options] <localPackagePath> context <context-name> module upgrade [options] <moduleName>
Les options disponibles sont :
--nopre
permet de ne pas exécuter les processus de 'pre-upgrade' déclarés par le paquet.--nopost
permet de ne pas exécuter les processus de 'post-upgrade' déclarés par le paquet.--nothing
permet de ne pas exécuter les processus de 'pre-upgrade' et de 'post-install' déclarés par le paquet.--force
permet de forcer l'upgrade du paquet même si une version supérieure ou égale est déjà installée.Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff context test module upgrade /tmp/foo-2.0.0-1.webinst Processing required module 'foo' (2.0.0-1) for upgrade. [...] Done.
Notes :
1.5
de dynacase-control, le format XML des modules est vérifié et un
avertissement est affiché si le format n'est pas conforme. Voir Format des
modules webinst et Changements par rapport à l'ancien format
pour les changements à apporter à vos fichier info.xml
de
description de module.control 1.5
Syntaxe :
context <context-name> archive <archive-name> [--without-vault] [--description=<description>]
Les options disponibles sont :
--without-vault
permet de ne pas inclure l'archivage du vault dans
l'archive du contexte.--description=<description>
permet de saisir le champ de description de
l'archive.Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff context dev archive test test-1f84e69f127a5fb3f2d920c35beb12f2f2a6c4d5
Note :
L'archivage d'un contexte peut nécessiter jusqu'à deux fois la taille des éléments à archiver. Une estimation de l'espace disque minimal nécessaire peut être obtenue avec la formule suivante :
s1 := taille( dump de la base de données ) s2 := taille( contenu du répertoire racine du contexte ) s3 := taille( contenu des vaults ) espace_libre_necessaire := ( s1 + s2 + s3 ) * 2
control 1.5
Syntaxe :
list archive
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff list archive test-1f84e69f127a5fb3f2d920c35beb12f2f2a6c4d5 pre-prod-838ac13e91d439d5c3a8bed86ea8adfee800c949
control 1.5
Syntaxe :
archive <archive-id> info
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff archive test-1f84e69f127a5fb3f2d920c35beb12f2f2a6c4d5 info Archive 'test-1f84e69f127a5fb3f2d920c35beb12f2f2a6c4d5' ------------------------------------------------------- id = test-1f84e69f127a5fb3f2d920c35beb12f2f2a6c4d5 date = 2014-12-15 09:03:04 name = test size = 42.121 Mo vault = Yes description = dev@2014-12-15T09:03:04 Installed modules: - dynacase-core (3.2.17-1) [...]
control 1.5
Syntaxe :
archive <archive-id> restore <context-name> <context-root> <pg-service-name> <vault-root> [--remove-profiles --user-login=<login> --user-password=<password>] [--clean-tmp-directory=<'yes'|'no'>]
Les options disponibles sont :
--remove-profiles
permet de donner tous les privilèges sur tous les
documents à un nouvel utilisateur
lors de la restauration du contexte (à utiliser en conjonction avec
--user-login
et --user-password
).--user-login
et --user-password
permet de spécifier le login et le mot de
passe du nouvel utilisateur auquel sont donnés tous les privilèges sur tous
les documents.--clean-tmp-directory=<'yes'|'no'>
permet de supprimer si les fichiers
temporaires de la restauration sont effacés (yes
ou comportement par
défaut) ou s'il sont conservés (no
).Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff archive test-1f84e69f127a5fb3f2d920c35beb12f2f2a6c4d5 restore test2 /var/www/test2 db-test-2 /var/www/test2/vaultfs Context 'test2' successfully created from archive 'test-1f84e69f127a5fb3f2d920c35beb12f2f2a6c4d5'.
Syntaxe :
delete <archive-id>
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff delete archive test-1f84e69f127a5fb3f2d920c35beb12f2f2a6c4d5
Cette opération permet d'afficher la liste des paramètres des modules installés.
Syntaxe :
context <context-name> param show [<moduleName>]
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff context test param show dynacase-core:client_name = Test dynacase-core:core_db = test dynacase-core:authtype = html dynacase-core:lcdate = iso : standard format 8601 dynacase-core:core_tmpdir = ./var/tmp dynacase-core:core_admin_passwd = dynacase-core:mod_deflate = yes foo:bar = baz foo:bir = biz # /var/www/dynacase-control/wiff context test param show foo foo:bar = baz foo:bir = biz
Cette opération permet d'afficher la valeur d'un paramètre d'un module donné.
Syntaxe :
context <context-name> param get <module-name>:<param-name>
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff context test param get foo:bar foo:bar = baz
Cette opération permet de positionner la valeur d'un paramètre d'un module donné.
Syntaxe :
context <context-name> param set <module-name>:<param-name> <param-value>
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff context <context-name> param set foo:bar buzz foo:bar = buzz
control 1.5
Cette opération permet de gérer la liste de dépôts de paquets connus par dynacase-control.
control 1.5
Syntaxe :
repository list
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff repository list dynacase http://dynacase.anakeen.com/3.2/webinst/ local http://localhost/repo/
control 1.5
Syntaxe :
repository add <repo-name> <repo-url> [<repo-username> [<repo-password>]]
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff repository add foo "http://example.net/foo/" # /var/www/dynacase-control/wiff repository add acme "http://example.net/acme/" "john.doe" "s3cr3t"
Notes :
_
(underscore). REGEX pour la validation du nom du
dépôt : /^[a-zA-Z0-9_]+$/
.control 1.5
Syntaxe :
repository delete <repo-name>
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff repository delete foo
Notes :
Désactiver un dépôt sur un contexte
. control 1.5
Syntaxe :
repository delete --all
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff repository delete --all
Notes :
Désactiver un dépôt sur un contexte
. control 1.5
Cette opération permet de voir/modifier les paramètres de dynacase-control.
wiff-update-host
wiff-update-path
wiff-update-file
wiff-update-login
(optionnel)wiff-update-password
(optionnel)use-proxy
(optionnel)Active l'utilisation d'un proxy HTTP pour les requêtes HTTP/FTP émises par dynacase-control.
Valeurs : yes
ou no
.
proxy-host
(optionnel)Nom d'hôte du proxy HTTP à utiliser si use-proxy
est activé.
Ex. proxy.example.net
proxy-port
(optionnel)Port du proxy HTTP à utiliser si use-proxy
est activé.
Ex. : 3128
proxy-username
(optionnel)proxy-host
.proxy-password
(optionnel)proxy-host
.auto-configuration-sender-interval
Intervalle (en nombre de jours) pour la soumission des information des
contextes avec send_configuration
lorsque ceux-ci
sont enregistrés avec le compte EEC.
Valeurs : entier de 1
à 31
.
local-log
control 1.5
Active la journalisation des messages d'erreurs dans le fichier
log/wiff.log
.
Valeurs : yes
ou no
.
syslog-facility
control 1.5
Facility syslog utilisée par les messages d'erreurs émis par dynacase-control.
Voir Paramétrage syslog
.
control 1.5
Syntaxe :
param show
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff param show wiff-update-host = http://dynacase.anakeen.com/ (visible) wiff-update-path = /control/ (visible) wiff-update-file = dynacase-control-current.tar.gz (visible) wiff-update-login = (visible) wiff-update-password = (visible) use-proxy = no (visible) proxy-host = (visible) proxy-port = (visible) proxy-username = (visible) proxy-password = (visible) auto-configuration-sender-interval = 30 (visible) local-log = yes (hidden) syslog-facility = LOG_USER (hidden)
control 1.5
Syntaxe :
param get <param-name>
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff param get local-log local-log = yes
control 1.5
Syntaxe :
param set <param-name> <param-value> ['hidden']
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff param set local-log no
Notes :
hidden
permet de masquer la présentation du paramètre dans
l'interface Web.control 1.5
Cette opération permet d'enregistrer dynacase-control avec son compte EEC.
Syntaxe :
register
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff register Not registered.
control 1.5
Syntaxe :
register <eec-username> <eec-password>
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff register "john.doe" "s3cr3t" Successfully registered dynacase-control. # /var/www/dynacase-control/wiff register Registered with EEC username 'john.doe'.
control 1.5
Cette opération permet d'enregistrer un contexte avec son compte EEC.
Syntaxe :
context <context-name> register
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff context test register
Notes :
Enregistrer dynacase-control avec son compte EEC
.Cette opération permet d'envoyer la configuration de tous les contextes enregistrés avec le compte EEC.
Syntaxe :
send_configuration
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff send_configuration
Le mode maintenance d'un contexte permet de bloquer l'accès des utilisateurs au contexte, et de désactiver l'exécution des crons, afin d'effectuer des opérations pour lesquelles il est nécessaire que les données ne soient pas modifiés.
dynacase-control 1.5.2
Cette opération permet d'exécuter le script historique 'wstop' sur un contexte. Dans ce mode, seul l'utilisateur master default a accès au contexte.
Syntaxe :
wstop <context-name>
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff wstop test
dynacase-control 1.5.3
Cette opération est dépréciée et doit être remplacée par le lancement de la
commande ./wstop
dans le contexte à l'aide de l'opération
WIFF exec
.
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff context test exec ./wstop
Voir :
La sortie du mode maintenance d'un contexte permet de rétablir l'accès des utilisateurs, et l'exécution des crons, lorsque l'opération de maintenance est terminée.
dynacase-control 1.5.2
Cette opération permet d'exécuter le script historique 'wstart' sur un contexte.
Syntaxe :
wstart <context-name>
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff wstart test
dynacase-control 1.5.3
Cette opération est dépréciée et doit être remplacée par le lancement de la
commande ./wstart -m
dans le contexte à l'aide de
l'opération WIFF exec
.
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff context test exec ./wstart -m
Voir :
Cette opération permet d'exécuter le script historique 'whattext' sur un contexte.
Syntaxe :
whattext <context-name>
Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff whattext test
Cette opération permet d'ouvrir un shell, ou d'exécuter une commande, sous l'uid de l'utilisateur exécutant le serveur Apache afin d'effectuer manuellement des opérations d'administration spécifiques.
Syntaxe :
context <context-name> shell
context <context-name> exec <command> [<command-options>]
Par défaut, si aucune commande n'est spécifiée, le shell par défaut définit pour l'utilisateur du serveur Apache est lancé. Si l'utilisateur n'a pas de shell associé, il faudra alors spécifier le chemin du shell qu'on souhaite exécuter avec la variante 'exec'. Lors de l'ouverture du shell, ou de l'exécution de la commande, les variables d'environnement suivantes sont pré-positionnés :
HOME
: le répertoire racine du contexte.wpub
: le répertoire racine du contexte (pour compatibilité scripts post/migr de Dynacase).pgservice_core
: le service Postgresql de la base 'core' (pour compatibilité scripts post/migr de Dynacase).pgservice_freedom
: le service Postgresql de la base 'freedom' (pour compatibilité scripts post/migr de Dynacase).freedom_context
: vaut toujours ”default” (pour compatibilité scripts post/migr de Dynacase).Exemple :
# /var/www/dynacase-control/wiff context test shell /bin/bash $ id uid=70(_www) gid=70(_www) egid=20(staff) groups=70(_www) $ pwd /var/www/test $ ./FOO/FOO_post U [...] # /var/www/dynacase-control/wiff context test exec /usr/bin/tar -zcf /tmp/archive.tar.gz .
control 1.5
Les opérations suivantes sont soumises à l'obtention du verrou exclusif :
Le verrou est implémenté avec un appel système flock
sur le fichier
conf/contexts.xml.lock
.
Si le CLI ne peut obtenir un verrou exclusif, alors il se termine avec un exit
code 100
et affiche le message Error locking Dynacase-Control: Already
locked by process with pid 'xxx'
si le verrou est pris par un autre CLI, ou
Error locking Dynacase-Control: xxx
pour une erreur générale (e.g. problème
dans l'accès au fichier conf/contexts.xml.lock
).
DAV
Le protocole WebDAV permet aux utilisateurs d'éditer et de sauver les fichiers inclus dans les documents directement depuis leur traitement de texte, tableurs et autres logiciels d'édition de fichiers.
L'application DAV
de Dynacase gère deux serveurs WebDAV :
Lors de la modification de fichiers par l'interface Web, l'éditeur de fichier
utilise le serveur WebDAV authentifié par numéro de session. L'adresse de ce
serveur WebDAV doit être précisé dans le paramètre applicatif FREEDAV_SERVEUR
.
L'adresse du deuxième serveur doit être renseigné dans le paramètre
WEBDAV_SERVEUR
(accessible depuis le menu
administration/paramètres de configuration/paramètres applicatif/dav).
Ces deux serveurs doivent avoir deux noms distincts du nom de la machine pour
l'accès à l'interface web. Ces deux noms désignent la même machine (alias DNS)
que le serveur WEB. Le serveur Web Apache doit être configuré pour avoir deux
hôtes virtuels (Apache VirtualHost
) correspondant aux deux
serveurs DAV.
Le navigateur Web ne peut pas nativement exécuter un autre programme. Pour
autoriser votre navigateur à ouvrir les éditeurs vous devez installer deux
fichiers sur votre poste client opendav.reg
et opendav.vbs
:
Pour enregistrer le protocole pour le navigateur, il faut double-cliquer sur
l'icône du fichier opendav.reg
que vous avez téléchargé. Ensuite il faut
enregistrer le fichier opendav.vbs
dans le répertoire C:\WINDOWS\
.
Après cette manipulation à partir de votre navigateur Internet Explorer ou Firefox, vous pouvez éditer et enregistrer les fichiers comme s'ils étaient sur votre disque dur.
Lorsque vous cliquez sur le lien Ouvrir dans un éditeur
, une interface vous
demande de choisir le programme capable de lire le fichier. Pour enregistrer le
fichier sur le serveur, une fois les modifications effectuées, il suffit
d'utiliser le menu enregistrer de l'éditeur comme d'habitude
Notes :
Dans Firefox, entrez l'URL : about:config
Ajouter les options suivantes :
network.protocol-handler.external.asdav
true
network.protocol-handler.app.asdav
dynacase-opendav.sh
Pour Firefox > 3.5, il faut aussi lancer deux commande à l'aide de gconftool-2 :
gconftool-2 -s /desktop/gnome/url-handlers/asdav/command '/path/to/app %s' --type String gconftool-2 -s /desktop/gnome/url-handlers/asdav/enabled --type Boolean true
Créer le fichier de commande dynacase-opendav.sh
suivant dans un répertoire
accessible par le PATH
système (/usr/local/bin/dynacase-opendav.sh
par
ex.) :
#!/bin/bash np=$(echo "$1" | sed "s/asdav:/http:/") ooffice "$np"
Rendre le script exécutable :
chmod +x /usr/local/bin/dynacase-opendav.sh
Il reçoit en argument l'URL du fichier à éditer. Cette URL est une ressource
asdav:
qui doit être transformée en http:
et être fournie à l'exécutable
Open Office.
Si la configuration n'est pas correcte, vous allez rencontrer ce message :
Si tout fonctionne correctement, vous allez avoir cette fenêtre :
Télécharger et installer l'application Asdav.app
:
L'application Asdav.app
permet d'ouvrir les URLs asdav:
de Dynacase avec
OpenOffice, et donc d'éditer en ligne tous les types de fichiers supportés par
celui-ci.
Asdav.app
utilisera en premier OpenOffice.org.app
, et si celui-ci n'est pas
disponible il utilisera NeoOffice.org.app
.
Note pour les utilisateurs sous Mac OS X Tiger (10.4) :
OpenOffice.org.app 3.0.0 comporte un petit bug qui le rend inutilisable lorsqu'il est lancé par Asdav.app (c.f. http://www.openoffice.org/issues/show_bug.cgi?id=93731).
Pour contourner ce problème, il faut éditer le fichier
/Applications/OpenOffice.org.app/Contents/Info.plist
et changer la valeur de
la clef CFBundleExecutable
par soffice.bin
:
<key>CFBundleExecutable</key> <string>soffice.bin</string> [...]
Note : ce problème doit être à présent résolu à partir de OpenOffice.org 3.0.1
L'utilisation de la fonction DAV nécessite la création de deux configurations Apache à base de VirtualHosts. Comme cette conf n'est pas accessible et réalisable par dynacase-control, vous devrez insérer les configurations données ci-dessous dans la configuration de votre serveur Apache.
Ce module nécessite en pré-requis l'activation du module rewrite
:
# a2enmod rewrite # /etc/init.d/apache2 restart
L'utilisation du protocole dav utilise un schéma dav
dédié dans la base
données générale.
Les tables dav.locks
, dav.properties
et dav.sessions
sont automatiquement
crées lors de l'installation de dynacase-core.
Pour utiliser les fonctions d'édition et de montage WebDAV, vous devez mettre en place deux VirtualHosts Apache.
Pour cela, il vous faut déclarer deux noms DNS additionnels qui pointeront vers votre serveur Dynacase.
Exemple :
Soit un contexte dynacase installé dans le répertoire /var/www/ged
, et
accessible par l'enregistrement DNS ged.example.net
.
Vous pouvez créer deux enregistrements DNS ged-freedav.example.net
et
ged-webdav.example.net
qui pointeront vers ged.example.net
.
ged-freedav IN CNAME ged.example.net. ged-webdav IN CNAME ged.example.net.
Dans ce cas, les configurations associées seront :
Fichier de configuration /etc/apache2/sites-available/default-freedav
<VirtualHost *:80> ServerName ged-freedav.example.net DocumentRoot /var/www/ged/freedav <Directory /var/www/ged/freedav/> Order allow,deny Allow from All DirectoryIndex index.php Options FollowSymLinks AllowOverride All </Directory> ErrorLog /var/log/apache2/freedav.error.log </VirtualHost>
Activer la configuration
# a2ensite ged-freedav # /etc/init.d/apache2 restart
Fichier de configuration /etc/apache2/sites-available/ged-webdav
<VirtualHost *:80> ServerName ged-webdav.example.net DocumentRoot /var/www/ged/webdav <Directory /var/www/ged/webdav/> Order allow,deny Allow from All DirectoryIndex index.php Options FollowSymLinks AllowOverride All </Directory> ErrorLog /var/log/apache2/webdav.error.log </VirtualHost>
Activer la configuration
# a2ensite ged-webdav # /etc/init.d/apache2 restart
Remarque : Il est possible de vérifier avec votre navigateur que les deux VirtualHost fonctionnent correctement :
http://ged-freedav.example.net
: Doit afficher une page blanche ;http://ged-webdav.example.net
: Doit demander un mot de passe et afficher
“WebDAV Server: HTML view is not implemented yet”.L'application dav comporte quatre paramètres accessibles via :
FREEDAV_SERVEUR
WEBDAV_SERVEUR
WEBDAV_DB
WEBDAV_ROOTID
WEBDAV_FOLDERMAXITEM
En cas de problème dans la mise en place de l'application dav, il est possible d'effectuer différents tests pour identifier la source du problème.
Le client WebDAV cadaver
e n ligne de commande disponible sous Linux permet de
vérifier que la connexion au serveur webdav et au serveur freedav fonctionne
correctement :
$ cadaver ged-freedav dav:/>
$ cadaver ged-webdav Authentication required for on server `ged-webdav': Username: admin Password: ****** dav:/> ls Listing collection `/': succeeded. Coll: import 0 sep 17 16:25 Coll: la poubelle 0 sep 17 16:25 Coll: les cycles 0 sep 17 16:25 Coll: les familles 0 sep 17 16:25 Coll: les maisons 0 sep 17 16:25 Coll: les profils 0 sep 17 16:25 dav:/>
En cas de problèmes, regarder les éventuels messages d'erreur le error_log PHP ou Apache.
Situation : Le document a été chargé en édition avec OpenOffice.org, et ce dernier s'est terminé anormalement en laissant le document locké au niveau WebDAV.
Solution : Identifier l'URL du document (ex.
asdav:/ /freedav.example.net/freedav/vid-12765-4870-3a0404dfe29f7c88bb58ac8a6943559d/Foo.odt
),
et supprimer le lock du document dans la table locks :
# PGSERVICE=dynacase psql \ -c "DELETE FROM dav.locks WHERE path = '/freedav/vid-12765-4870-3a0404dfe29f7c88bb58ac8a6943559d/Foo.odt'"
Il arrive sur certains postes en Windows XP d'avoir des lenteurs d'accès aux documents : les temps d'accès constatés sont d'environ 30 secondes.
Ces problèmes sont inhérents à Windows, il existe 2 solutions possibles pour pallier à ces lenteurs :
L'installation du service Samba (sur le serveur Dynacase) semble réduire dans certains cas le temps d'attente du poste Windows pour l'accès aux ressources WebDAV.
Dans certains cas, le changement d'ordre des "Fournisseurs de réseau" peut réduire le temps d'attente du poste Windows pour l'accès aux ressources WebDAV.
Pour cela, allez dans le panneau de configuration puis dans Connexions réseau / Avancé / Paramètres avancés :
Dans l'onglet “Ordre des fournisseurs”, vous placez “Web Client Network” en tête de liste :
Explication : lorsque vous cherchez à accéder à un serveur dav, le fournisseur réseau du dav devient prioritaire sur les autres services réseau, ce qui évite les problématiques de timeouts.
Par contre cela peut potentiellement engendrer d'autres lenteurs pour accéder à d'autres ressources réseau (serveur de fichier, active directory, …).
Cette solution est à appliquer au cas par cas.
L'intégrité des paquets Control (webinst), archives compressées ou description de l'index du dépôt (content.xml) peut être contrôlée.
Après avoir téléchargé le contenu du dépôt vous pouvez, avant de procéder à une installation, vérifier qu'il est intègre.
Le fichier SHA256sum.asc
, téléchargé, contient les sommes de contrôles. Vous devez d'abord vous assurer de son origine (qui l'a produit) :
# gpg --recv-keys 9AEA83AF gpg: requête de la clé 9AEA83AF du serveur hkp keys.gnupg.net gpg: clé 9AEA83AF: « Dynacase distribution <labs@anakeen.com> » n'a pas changé gpg: Quantité totale traitée: 1
# gpg --fingerprint 9AEA83AF pub 2048R/9AEA83AF 2013-03-15 Empreinte de la clé = D41B 24B6 F276 3E38 1A25 29FF 1633 12B4 9AEA 83AF uid Dynacase distribution <labs@anakeen.com> sub 2048R/361B4EAC 2013-03-15
vous pouvez donner votre confiance à cette clé avec la commande gpg --edit_keys
.
vérifiez que le fichier des sommes de contrôle est correctement signé
# gpg --verify SHA256sum.asc gpg: Signature faite le ven. 15 mars 2013 17:07:18 CET avec la clé RSA ID 9AEA83AF gpg: Bonne signature de « Dynacase distribution <labs@anakeen.com> » gpg: ATTENTION: Cette clé n'est pas certifiée avec une signature de confiance ! gpg: Rien ne dit que la signature appartient à son propriétaire. Empreinte de clé principale: D41B 24B6 F276 3E38 1A25 29FF 1633 12B4 9AEA 83AF
Vous êtes maintenant en possession d'un fichier contenant les sommes de contrôles des éléments téléchargés que vous pouvez considérer comme fiables.
Dans le répertoire de téléchargement des éléments (paquets, archives, etc.) et du fichier SHA256sum.asc, lancez la commande suivante :
# sha256sum ---check SHA256sum.asc (ou) # shasum -a 256 --check SHA256sum.asc
Elle vous indique pour chacun des éléments téléchargés s'il correspond à la somme de contrôle attendue (s'il est intègre).
control 1.5
Dans ce paragraphe nous allons détailler les éléments constitutifs d'un module
webinst
et mettre en œuvre ces éléments pour construire un module d'exemple
que nous nommerons dynacase-foo.
Pour bien suivre cette présentation, il est souhaitable d'avoir bien en tête les notions d'Applications et d'Actions de Dynacase et le fonctionnement général de celles-ci.
Pour un aperçu rapide des changements apportés par rapport à l'ancien format, voir la section "Changements par rapport à l'ancien format" ci- dessous.
webinst
Une archive webinst
de module est une archive TAR compressée par
GZIP avec pour extension .webinst
.
L'archive contient les éléments suivants :
content.tar.gz
(requis)Une archive (TAR compressé GZIP) contenant les fichiers à déployer dans le contexte.
Les chemins des fichiers contenus dans l'archive doivent être relatifs à la racine du contexte et êtres conformes à l'arborescence attendue sur le serveur.
Cette archive est décompressée dans la racine du contexte sous l'identité de l'utilisateur configuré lors de l'installation de dynacase-core.
info.xml
(requis)Un fichier au format XML conforme au schéma XML
webinst-module-1.0.xsd
décrivant le module et les opérations à
exécuter pour son installation, mise-à-jour, etc.
Voir Fichier info.xml
pour la description de ce fichier.
LICENSE
(optionnel)Un fichier contenant le texte de la licence du module au format texte brut
(text/plain
).
Si ce fichier est présent et que la propriété license
du module est
valuée dans le fichier fichier info.xml
, alors le contenu de ce fichier
est présenté à l'utilisateur pour que ce dernier valide la licence du
module.
Restrictions sur le nom de l'archive :
#
(dièse), ?
(point d'interrogation), %
(symbole pourcent).info.xml
Le fichier info.xml
permet de décrire le module Dynacase en fournissant en
particulier :
<?xml version="1.0"?> <module xmlns="urn:dynacase:webinst:module/1.0" name="dynacase-foo" version="1.2.3" release="1" basecomponent="N" changelog="https://modules.example.net/changelog/dynacase-foo/1.2.3"> <description>dynacase foo</description> <requires> <installer version="1.4.0" comp="ge" /> <module name="dynacase-bar" /> <module name="dynacase-baz" version="1.0.0" comp="ge" /> </requires> <parameters> <param name="foo_dir" label="Directory of FOO" type="text" default="/var/foo" needed="Y" /> <param name="foo_color" label="Color of FOO" type="enum" values="red|green|blue" default="green" needed="N" /> </parameters> <pre-install> <check type="syscommand" command="zip" /> <check type="phpfunction" function="pg_connect"> <help>You might need to install a php-pg package.</help> </check> <check type="file" file="/var/foo" predicate="is_dir" /> </pre-install> <post-install> <process command="programs/app_post FOO I" /> <process command="programs/record_application FOO I" /> <process command="programs/app_post FOO U" /> <process command="programs/update_catalog" /> </post-install> <post-upgrade> <process command="programs/pre_migration FOO" /> <process command="programs/app_post FOO U" /> <process command="programs/record_application FOO U" /> <process command="programs/post_migration FOO" /> <process command="programs/update_catalog" /> </post-upgrade> <reconfigure> <process command="FOO/reconfigure_foo" /> </reconfigure> </module>
La définition d'un module doit être conforme à la description XML
urn:dynacase:webinst:module/1.0
.
La définition au format XML Schema Definition (XSD) de ce format est consultable et téléchargeable sur le dépôt GitHub suivant:
Le fichier XSD de définition des modules est webinst-module-1.0.xsd
.
La racine du document info.xml
est un tag <module>
avec les attributs suivants :
urn:dynacase:webinnst:module/1.0
utilisé par le
module.le nom du module.
Restrictions sur le nom du module :
'
(apostrophe).la version du module (sous la forme N.N.N
)
La comparaison des versions entre deux modules est faite à l'aide de la
fonction PHP version_compare()
. La comparaison
est faite en deux étapes : d'abord comparaison des valeurs version
, puis,
si les versions sont identiques, comparaison des valeurs release
.
Y
ou N
, permet de spécifier si le module est un module de base.
Dans ce cas, son installation sera obligatoire.
Valeur par défaut : N
license du module : nom/label de la licence du module (ex. http://www.fsf.org/licensing/licenses/agpl-3.0.html GNU Affero General Public License
).
Si un fichier LICENSE
(contenant le texte de la licence au format
text/plain) est présent à la racine de l'archive .webinst
, alors une
fenêtre est ouverte avec le contenu de ce fichier LICENSE
lorsque le
module est installé pour la première fois afin que l'utilisateur accepte
la licence.
ACME Corp.
).Exemple :
<?xml version="1.0"?> <module xmlns="urn:dynacase:webinst:module/1.0" name="dynacase-foo" version="1.2.3" release="rc1" license="GPLV2" vendor="ACME Corp." changelog="https://modules.example.net/changelog/dynacase-foo/1.2.3" > […] </module>
Le module peut fournir une description textuelle pour expliciter le rôle du module.
Exemple :
<description>This module allows Dynacase to connect to FOO</description>
Les dépendances permettent d'exprimer qu'un module requiert d'autres modules Dynacase avec éventuellement une contrainte sur leur version, ou une version spécifique de l'installeur.
Les dépendances sont exprimés à l'aide du tag <requires>
.
La dépendance avec un module est exprimée avec un élément <module>
qui
comporte les attributs suivants :
lt
(<), le
(<=), gt
(>), ge
(>=), eq
(==) ou ne
(!=)Exemple :
<requires> <module name="dynacase-bar" version="2.0" comp="ge" /> <module name="dynacase-baz" version="1.9" comp="gt" /> <requires>
Dans cet exemple, le module requiert le module dynacase-bar
en version >=
2.0
et le module dynacase-baz
en version > 1.9
.
Note :
eq
se fait sur la version des
modules en ignorant la release. Si plusieurs modules sont disponibles pour la
même version requise, alors c'est celui avec la release la plus haute qui
sera pris en compte.Le module peut aussi exprimer une dépendance sur la version de l'installeur Dynacase Control.
Dans ce cas, le tag <requires>
peut contenir un élément <installer>
avec
les attributs suivants :
lt
(<), le
(<=), gt
(>), ge
(>=), eq
(==) ou ne
(!=)Exemple :
<requires> <installer version="1.0" comp="ge" /> <module name="dynacase-bar" version="2.0" comp="ge" /> <module name="dynacase-baz" version="1.9" comp="gt" /> <requires>
Dans cet exemple, le module requiert un installeur avec une version >= 1.0
,
le module dynacase-bar
en version >= 2.0
et le module dynacase-baz en
version
> 1.9`.
Un module peut demander lors de son installation (ou upgrade) l'entrée de certains paramètres d'installation ou d'upgrade.
Les paramètres d'installation/upgrade nécessaires au module sont spécifiés avec
un élément <parameters>
contenant des éléments <param>
.
La valeur du paramètre peut ensuite être lue par un programme lancé lors de l'install/upgrade via le mécanisme de Process décrit ci-dessous.
Note : ces paramètres de module n'ont pas de lien avec les paramètres
d'applications ou de familles de dynacase-platform. Par contre, un <process/>
spécifique peut être déclaré et utilisé pour enregistrer un paramètre de
module comme valeur d'un paramètre d'application et de famille en utilisant
par exemple le programme program/set_param
(voir chapitre Commande
programs/set_param du Manuel de référence
Dynacase Core).
Les éléments <param>
ont les attributs suivants :
text
ou enum
, permet de spécifier le type de donné attendu.La valeur par défaut présentée à l'utilisateur lors de la saisie des paramètres.
Valeur par défaut : ""
(chaîne vide).
Y
(pour yes) ou N
(pour no), permet de spécifier si la saisie du
paramètre est obligatoire ou optionnelle.
Valeur par défaut : N
.
type=“enum”
, l'attribut values
permet de spécifier une liste de
choix finis, séparés par le caractère |
(pipe), à partir de laquelle
l'utilisateur sélectionnera une valeur (e.g. X|FOO|BAR
).Y
(pour yes) ou N
(pour no), permet de spécifier si la valeur entrée
doit être supprimée après l'installation ou upgrade.
Cela permet d'indiquer que la valeur n'est pas mémorisée, et donc qu'elle sera demandée avec sa valeur par défaut à chaque upgrade du module par exemple.
Valeur par défaut : N
.
Permet de spécifier la visibilité du paramètre lors d'une installation du
module (R
pour lecture seule, W
pour lecture/écriture, H
pour caché).
Valeur par défaut : W
.
Permet de spécifier la visibilité du paramètre lors de l'édition des paramètres depuis la liste des modules installés.
Valeur par défaut : R
.
Permet de spécifier si le paramètre est re-demandé lors des upgrades du module.
Valeur par défaut : H
.
Exemple :
<parameters> <param name="foo_dir" label="Directory of FOO" type="text" default="/var/foo" needed="Y" /> <param name="foo_color" label="Color of FOO" type="enum" values="red|green|blue" default="green" needed="N" /> </parameters>
Lors de l'opération d'installation ou d'upgrade d'un module, ou d'archivage/restauration/suppression d'un contexte, un ensemble de phases contenant des process sont déroulés.
Les phases sur lesquelles vous pouvez spécifier vos process sont identifiées en couleur dans le diagramme ci-dessous.
Figure 20. Workflow install/upgrade d'un module
Chaque opération (install, upgrade, etc.) comporte des phases qui sont exécutés à un moment du traitement du module
L'opération d'installation comporte ainsi deux phases sur lesquelles vous
pouvez spécifier vos process : une phase avant l'installation des fichiers du
module (phase pre-install
), et une phase après
l'installation des fichiers du module
(phase post-install
).
De la même manière, lors de l'upgrade : une phase avant la suppression des
anciens fichiers du module et l'installation des nouveaux fichiers du module
(phase pre-upgrade
), et une phase après l'installation
des nouveaux fichiers du module (phase post-upgrade
).
Chaque phase (pre-install
,
post-install
, etc.) spécifie un ensemble de process
(éléments <check>
, <process>
ou
<download>
) qui sont exécutés et qui retournent un status
d'échec ou de réussite.
Une phase est validée lorsque tous ses sous-éléments process ont retourné un statut de réussite.
Si une phase n'est pas validée, alors les messages d'erreurs rencontrés sont présentés à l'utilisateur , et celui-ci peut rejouer le process après avoir éventuellement corrigé le problème, ou bien il peut choisir d'ignorer les messages d'erreurs et poursuivre le déroulé de la phase.
Les process possibles dans les phases sont des éléments :
Chaque proccess peut fournir un élément <label>
présenté comme titre dans la
liste des process de la phase, et un <help>
qui sera présenté à l'utilisateur
lorsque l'action échoue.
En l'absence de <label>
et de <help>
un message générique est composé pour
identifier le process.
Les process de <pre-install>
s'exécutent avant l'installation des fichiers du
module sur le système de fichier.
Exemple :
<pre-install> <check type="phpfunction" function="pspell_new"> <label>Vérification du support de pspell par PHP.</label> <help>Il faut peut-être installer php5-pspell avec aspell et aspell-fr</help> </check> <check type="syscommand" command="convert" /> </pre-install>
Les process de <pre-install>
serviront généralement à vérifier la présence de
certains éléments et à bloquer l'installation si ces éléments ne sont pas
présents/corrects.
Les process de <post-install>
s'exécutent après l'installation des fichiers du
module sur le système de fichier.
Exemple :
<post-install> <process command="programs/record_application FOO"> <label lang="en">Record FOO application in database</label> </process> <process command="programs/update_catalog"> <label lang="en">Generate localization catalog</label> </process> </post-install>
Les process de <post-install>
serviront généralement à configurer le module
qui vient d'être installé. Une erreur dans la phase de post-install laissera les
fichiers installés en place, mais le paquet sera marqué en erreur de
post-install dans l'interface.
Les process de <pre-upgrade>
s'exécutent avant l'installation des nouveaux
fichiers du module sur le système de fichiers.
Exemple :
<pre-upgrade> <check type="phpfunction" function="pspell_new"> <help>Il faut peut-être installer php5-pspell avec apspell et aspell-fr</help> </check> <check type="syscommand" command="convert" /> </pre-upgrade>
Les process de <pre-upgrade>
serviront généralement à vérifier la présence de
certains éléments et bloquer l'upgrade si ces éléments ne sont pas
présents/corrects.
Les process de <post-upgrade>
s'exécutent après l'installation des nouveaux
fichiers du module sur le système de fichier.
Exemple :
<post-upgrade> <process command="programs/pre_migration FOO"> <label>Pre-migration scripts</label> </process> <process command="programs/record_application FOO"> <label>Update application record in database</label> </process> <process command="programs/post_migration FOO"> <label>Post-migration scripts</label> </process> <process command="programs/update_catalog"> <label>Re-generate localization catalog</label> </process> </post-upgrade>
Les process de <post-upgrade>
serviront généralement à configurer le module
qui vient d'être installé, lancer les scripts de migration, etc. Une erreur dans
la phase de post-upgrade laissera les fichiers installés en place, mais le
paquet sera marqué en erreur de post-upgrade dans l'interface.
Les process de <reconfigure>
s'exécutent après la restauration d'un contexte
depuis une archive.
Les process possibles sont les mêmes que pour les phases de
<post-install>
ou <post-upgrade>
.
Les process de <pre-archive>
s'exécutent avant l'archivage d'un contexte.
Les process possibles sont les mêmes que pour les phases de
<post-install>
ou <post-upgrade>
.
Le status d'échec/erreur n'est pas pris en compte et ne bloque pas la procédure d'archivage.
Les process de <post-archive>
s'exécutent après l'archivage du contexte.
Les process possibles sont les mêmes que pour les phases de
<post-install>
ou <post-upgrade>
.
Le status d'échec/erreur n'est pas pris en compte et ne bloque pas la procédure d'archivage.
La phase de <pre-restore>
n'est pas utilisable car les modules n'existent
pas encore dans le contexte.
Les process de <post-restore>
s'exécutent après la restauration d'un contexte à
partir d'un archive et après l'exécution de la phase de
reconfigure.
Les process possibles sont les mêmes que pour les phases de
<post-install>
ou <post-upgrade>
.
Le status d'échec/erreur n'est pas pris en compte et ne bloque pas la procédure de restauration.
Les process de <pre-delete>
s'exécutent avant la suppression d'un contexte.
Les process possibles sont les mêmes que pour les phases de
<post-install>
ou <post-upgrade>
.
Le status d'échec/erreur est pris en compte. Lorsqu'un process de <pre-
delete>
est mis en échec, l'utilisateur a alors le choix de rejouer le
process ou bien de poursuivre l'exécution.
La phase de <post-delete>
n'est pas utilisable car les modules n'existent
plus suite à la suppression du contexte.
<check>
Les process <check>
permettent d’exécuter des actions pour vérifier la
présence de certains éléments.
Un process <check>
peut être déclaré optionnel (attribut optional="Y"
)
auquel cas l'utilisateur aura la possibilité d'outrepasser le check s'il est mis
en erreur. Dans le cas contraire, un <check>
en erreur ne peut pas être
outrepassé.
Le process <check>
supporte plusieurs types de vérifications qui sont
spécifiées via l'attribut type
qui peut prendre les valeurs suivantes :
Le check de type phpfunction
permet de vérifier la présence d'une fonction
PHP.
Le nom de la fonction testée est spécifié avec l'attribut function
.
Exemple :
<check type="phpfunction" function="pg_connect" />
Le check de type syscommand
permet de vérifier la présence d'une commande
disponible sur le système.
Le nom de la commande testée est spécifié avec l'attribut command
.
Exemple :
<check type="syscommand" command="convert" optional="Y"> <help>C'est bien si vous avez cette commande, mais on peut faire sans...</help> </check>
Le check de type phpclass
permet de vérifier la présence d'une classe objet PHP.
Le nom de la classe PHP est spécifié avec les attributs suivants :
include
: le nom du fichier pour inclure la définition de la classeclass
: le nom de la classeExemple :
<check type="phpclass" include="Net/SMTP.php" class="Net_SMTP" />
Le check de type apachemodule
permet de vérifier qu'un module Apache particulier est activé et chargé par celui-ci.
Le nom du module est spécifié par l'attribut module
.
Attention :
Exemple :
<check type="apachemodule" module="mod_expires" />
Le check de type exec
permet d'exécuter une commande shell et vérifier son
exit code. La commande à exécuter est spécifiée avec l'attribut cmd
.
L'interprétation du exit code suit la logique Unix avec :
0
pour succès;0
pour échec.Note :
/bin/sh
).Exemple :
<check type="exec" cmd="bash -c 'exit $(($RANDOM%2))'"> <label>Do you feel lucky?</label> <help>Try again!</help> </check>
Le check de type file
permet de vérifier l'existence ou le type d'un
fichier ou répertoire.
Les paramètres sont :
file
: Le chemin du fichier ou du répertoire à tester.predicate
: L'opérateur de comparaison parmi la liste suivante :
file_exists
(ou e
, -e
, a
-a
) : vrai si le fichier ou le répertoire existe.is_dir
(ou d
, -d
) : vrai si file
est un répertoire.is_file
(ou f
, -f
) : vrai si file
est un fichier.is_link
(ou L
, -L
) : vrai si file
est un lien symbolique.is_readable
(ou r
, -r
) : vrai si file
est lisible.is_writable
(ou w
, -w
) : vrai si file
est inscriptible.is_executable
(ou x
, -x
) : vrai si file
est exécutable (pour un répertoire cela correspond d'être traversé).Exemple :
<check type="file" file="/tmp" predicate="is_dir"> <label>Test si /tmp est bien un répertoire</label> <help>/tmp n'existe pas ou n'est pas un répertoire valide.</help> </check> <check type="file" file="/bin/bash" predicate="is_executable" />
Le check de type pgversion
permet de vérifier la version du serveur
PostgreSQL de base de données.
Les paramètres sont :
service
: Le nom du service d'accès à la base de données.predicate
: L'opérateur de comparaison :
lt
: strictement inférieur ;le
: inférieur ou égal ;gt
: strictement supérieur ;ge
: supérieur ou égal ;eq
: égal ;ne
: non-égal (différent)version
: La version avec laquelle est effectuée la comparaison.Le check de type pgempty
est vrai si la base de données référencée par le
service est vide.
Les paramètres sont :
service
: Le nom du service d'accès à la base de données.phpbug40926
est vrai si PHP n'est pas affecté par le bug
#40926.phpbug45996
est vrai si PHP n'est pas affecté par le bug
#45996
<process>
Les process <process>
servent à exécuter des commandes/programmes permettant
d'effectuer les opérations nécessaires au fonctionnement du module suite à son
installation.
Si le programme référencé par la propriété command
commence par un /
(slash), alors le chemin du programme est considéré comme étant absolu. Dans
le cas contraire, le chemin du programme est préfixé avec le chemin de la
racine du contexte.
Exemples :
<process command="programs/foo arg1 arg2 arg3" />
La commande exécutée sera ${WIFF_CONTEXT_ROOT}/programs/foo
avec les
arguments arg1
, arg2
et arg3
.
<process command="/usr/local/bin/foo arg1 arg2 arg3" />
La commande exécutée sera /usr/local/bin/foo
avec les arguments arg1
,
arg2
et arg3
.
Une ensemble de programmes sont livrés par dynacase-core
dans le sous-
répertoire programs/
du contexte, et leur fonctionnement est décrit dans le
manuel de référence de Dynacase.
Vous avez la possibilité d'écrire vos propres programmes de post-install, post-upgrade, etc. afin d'effectuer des opérations spécifiques à votre module.
Ces programmes seront généralement développés soit en shell Bash soit en PHP. Ils sont disponibles après la phase de décompression de votre paquet, dans le répertoire que vous aurez spécifié à l'empaquetage.
Le programme est exécuté dans le répertoire racine de l'installeur DYNACASE-CONTROL, et les variables d'environnement suivantes sont accessible depuis le script :
$WIFF_ROOT
: Le chemin du répertoire ou est installé DYNACASE-CONTROL
(c'est donc aussi le répertoire courant ($CWD
) dans lequel sera exécuté
votre programmes)$WIFF_CONTEXT_ROOT
: Le chemin du répertoire du contexte sur lequel est
effectué l'opération.$WIFF_CONTEXT_NAME
: Le nom du contexte sur lequel est effectué
l'opération.Lors de l'installation d'un module :
$MODULE_VERSION_TO
: La version (sans la release) du nouveau module.Lors de la mise à jour d'un module :
$MODULE_VERSION_FROM
: La version (sans la release) du module actuellement
installé.$MODULE_VERSION_TO
: La version (sans la release) du nouveau module.Exemple :
#!/bin/bash set -e # -- Récupérer la valeur du paramètre `foo_dir' spécifié par l'utilisateur PARAM_FOO_DIR=`"$WIFF_ROOT"/wiff --getValue=foo_dir` # -- Créer le répertoire s'il n'existe pas if [ ! -d "$PARAM_FOO_DIR" ]; mkdir "$PARAM_FOO_DIR" fi # -- Ajouter le nom de ce répertoire dans le fichier # -- `foo_dir.list' dans le sous-répertoire de mon module `FOO' echo "$PARAM_FOO_DIR" >> "$WIFF_CONTEXT_ROOT"/FOO/foo_dir.list
Note : Le programme PHP a aussi accès aux variables d'environnement, comme le script Bash, mais le chemin d'include doit être construit en fonction de vos besoins.
Exemple :
#!/usr/bin/env php <?php $WIFF_ROOT=getenv('WIFF_ROOT'); if( $WIFF_ROOT === false ) { print "WIFF_ROOT environment variable is not set!"; exit( 1 ); } $WIFF_CONTEXT_ROOT=getenv('WIFF_CONTEXT_ROOT'); if( $WIFF_CONTEXT_ROOT === false ) { print "WIFF_CONTEXT_ROOT environment variable is not set!"; exit( 1 ); } # -- Si je dois accéder aux fichier d'include de Dynacase # -- j'ajoute les répertoires d'include de Dynacase # -- dans mon include_path PHP set_include_path(join(PATH_SEPARATOR, array( get_include_path(), "$WIFF_ROOT/include", "$WIFF_CONTEXT_ROOT" ))); # -- A présent, je peux inclure les librairies de l'installeur require("lib/Lib.Cli.php"); # -- ... et les librairies Dynacase require("WHAT/Lib.Common.php"); $param_foo_dir = wiff_getParamValue('foo_dir'); if( ! is_dir($param_foo_dir) ) { $ret = mkdir($param_foo_dir); if( $ret === false ) { print sprintf("Error: could not create directory '%s'!", $param_foo_dir); exit( 1 ); } }
<download>
Les process <download>
servent à télécharger un fichier et exécuter un
traitement sur le fichier téléchargé. Il est utilisé par exemple pour
télécharger du code tiers livré sous forme d'archive Zip ou Tar.gz, et de
l'installer dans le contexte.
Exemple :
[...] <parameters> <param name="foo_url" label="Foo download URL" type="text" default="http://www.example.net/foo/foo-1.0.0.zip" volatile="Y" /> </parameters> <post-install> <download href="@{foo_url}" action="programs/foo_install"> <label lang="en">Downloading and installing Foo</label> <help>An error occured while downloading or installing Foo...</help> </download> </post-install> [...]
L'élément download est généralement couplé à un paramètre qui permet de demander et modifier l'URL de la ressource à télécharger.
Les propriétés suivantes sont utilisables sur l'élément download :
@{nom_du_parametre}
.contient le chemin d'un script qui sera exécuté avec le fichier
téléchargé comme argument (e.g. programs/foo_install /tmp/foo_url_xxx
).
L'environnement d'exécution est identique à celui décrit dans la section Programmes personnalisé ci-dessus.
Certaines propriétés de process de phase peuvent contenir des variables.
Ces variables permettent alors de référencer et d'utiliser la valeur d'un paramètre de module.
La liste des process et des propriétés supportant l'évaluation des variables est décrite ci-dessous.
Les variables peuvent être exprimées avec les notations suivantes :
@PARAM_NAME
@{PARAM_NAME}
Pour entrer un caractère @
literal il faut doubler le caractère :
@@
→ @
Les noms des variables doivent être de la forme [a-zA-Z_][a-zA-Z0-9_]*
.
<download>
Dans un process <download>
, les propriétés suivantes supportent l'évaluation
des variables :
href
Exemple :
<download href="... @{PARAM_NAME} ..." />
<process>
Dans un process <process>
, les propriétés suivantes supportent l'évaluation
des variables :
command
Exemple :
<process command="... @{PARAM_NAME} ..." />
<check>
de type exec
Dans un process <check>
de type exec
, les propriétés suivantes supportent
l'évaluation des variables :
cmd
Exemple :
<check type="exec" cmd="... @{PARAM_NAME} ..." />
Le format du fichier info.xml
peut être validé afin de s'assurer qu'il ne
contient pas d'erreurs dans sa structure.
Pour cela, vous pouvez utiliser le fichier de définition
webinst-module-1.0.xsd
et la commande xmllint
comme suit :
$ xmllint --schema webinst-module-1.0.xsd info.xml
Liste des éléments supprimés/non-supportés/modifiés par rapport à l'ancien format :
L'attribut "infopath
" de l'élément racine <module/>
n'est plus supporté.
L'attribut "disabled
" de l'élément racine <module/>
n'est plus supporté.
L'attribut "author
" de l'élément racine <module/>
n'est plus supporté.
L'élément <changelog/>
de l'élément racine <module/>
n'est plus supporté et peut être remplacé par l'utilisation de l'attribut
"changelog
" sur l'élément racine <module/
(contient
une URL vers le changelog du module).
L'attribut "lang
" de l'élément <description/>
n'est
plus supporté (par conséquent un seul élément
<description/>
est autorisé dans l'élément racine
<module/>
).
L'attribut "lang
" des éléments <label/>
et <help/>
n'est plus supporté
(par conséquent un seul élément <label/>
et un seul élément <help/>
est
autorisé dans les éléments <process/>
,
<check/>
et <download/>
).
L'attribut "basecomponent
" de l'élément racine
<module/>
doit contenir les valeurs "Y
" ou "N
".
L'attribut "volatile
" de l'élément <param/>
doit contenir
les valeurs "Y
" ou "N
".
L'attribut "optional
" des éléments <process/>
et
<check/>
doit contenir les valeurs "Y
" ou "N
".
L'upgrade en version 3.2 depuis une version 3.0 n'est pas supportée, et nécessite donc au préalable de passer en version 3.1.
importDocuments
L'importation des familles et des documents doit être effectuée avec le script d'API importDocuments
, qui remplace l'ancien script d'importation freedom_import
, et effectue un contrôle plus strict et précis sur les éléments importés.
Vous devez donc modifier vos fichiers d'importation présents dans info.xml
, et/ou vos procédures d'importation, pour utiliser importDocuments
à la place de freedom_import
.
L'importation de vos familles peut nécessiter un découpage de votre fichier ODS/CSV en sous-fichiers ODS/CSV autonomes en termes de dépendances, et importer ceux-ci dans l'ordre adéquat.
En effet, les contrôles plus stricts imposés lors de l'importation, interdisent les références à des éléments qui n'existent pas. Il vous faut donc importer vos éléments dans l'ordre de dépendance.
Pour cela, nous préconisons le découpage suivant :
Un contrôle plus strict est appliqué sur les fichiers méthodes.
class X extends Y
Tous les fichiers de méthodes doivent être réécrits sous la forme d'une classe PHP standard, dérivant de la classe d'une autre famille ou de la classe "Doc", à l'aide des tags de commentaires @begin-method-ignore
et @end-method-ignore
.
Exemple :
/** * @begin-method-ignore */ class _MA_FAMILLE extends Doc { /** * @end-method-ignore */
public function postModify() { [...] }
[...]
/** * @begin-method-ignore */ } /** * @end-method-ignore */
@templateController
)Les méthodes utilisées comme contrôleur de vue doivent être déclarées avec un tag de commentaire @templateController
. Dans le cas contraire, un message d'erreur sera affiché à la place de la vue.
Le tag @templateController
permet de déclarer explicitement les méthodes utilisables comme contrôleur de vue, et d'interdire l'utilisation de toute autre méthode.
Exemple :
/** * @begin-method-ignore */ class _MA_FAMILLE extends Doc { /** * @end-method-ignore */
[...]
/** * @templateController */ public function maVue() { [...] }
[...]
/** * @begin-method-ignore */ } /** * @end-method-ignore */
@apiExpose
)Les méthodes qui sont exécutées via l'action FDL_METHOD doivent être déclarées avec un tag de commentaire @apiExpose
.
Le tag @apiExpose
permet de déclarer explicitement les méthodes utilisables par FDL_METHOD, et d'interdire l'utilisation de toute autre méthode.
Exemple :
/** * @begin-method-ignore */ class _MA_FAMILLE extends Doc { /** * @end-method-ignore */
[...]
/** * @apiExpose */ public function doSomethingOnDocument() { [...] }
[...]
/** * @begin-method-ignore */ } /** * @end-method-ignore */
Cette notation est aussi obligatoire pour les menus déclarant un appel de la forme ::myMethod()
. Dans ce cas, la méthode myMethod
doit avoir aussi le tag @apiExpose
.
@searchLabel
)Les méthodes utilisables comme critère de recherche doivent être déclarées avec un tag de commentaire @searchLabel
et @searchType
.
☞ Voir chapitre 17.8.2.2 Utilisation de méthodes dans l'interface de recherche détaillée.
Exemple :
/** * @begin-method-ignore */ class _MA_FAMILLE extends Doc { /** * @end-method-ignore */
[...]
/** * @searchLabel Température extérieure * @searchType double */ public function exteriorTemperature() { return TemperatureSensor::getTemperature(); }
[...]
/** * @begin-method-ignore */ } /** * @end-method-ignore */
Les droits négatifs ne sont plus supportés.
Si vous avez utilisé les droits négatifs (boules rouges dans les profils) il vous faudra réécrire ceux-ci en utilisant la notion de rôles.
La structure de la table docperm
et les interfaces de saisie des droits ont été modifiés pour prendre en compte ce nouveau fonctionnement.
☞ Voir chapitres Comptes : utilisateurs, groupes et rôles et Sécurité : authentification, droit applicatif, droit documentaire.
Nous préconisons de ne plus gérer les droits par des groupes mais de se baser sur le système des rôles.
Pour savoir si vous avez des droits négatifs, vous pouvez utiliser la requête suivante :
# SELECT * FROM docperm WHERE unacl != 0;
S'il n'y a aucune ligne retournée, aucun droit négatif n'est posé.
Les familles USER
, SOCIETY
et SITE
sont désormais fournies par le module dynacase-contact
.
Le lien de parenté entre IUSER
et USER
n'existe plus, et IUSER
devient à présent une famille "top-level" sans parents.
Lors de la migration, l'application "Carnet d'adresse" est désactivée. Pour la réactiver, il vous faudra installer le module dynacase-contacts
.
Par défaut, les adresses de courriel des utilisateurs ne sont plus visibles pour l'envoi de courriels (depuis l'icône "enveloppe" présent sur les documents). Seules les familles déclarés avec un tag MAILRECIPIENT
sont utilisables pour l'envoi de courriels.
Pour réactiver l'ancien fonctionnement sur les IUSER
(et LDAPUSER
) il vous faudra mettre à jour ces familles pour positionner ce tag MAILRECIPIENT
.
☞ Voir chapitre 4.8.2.2 Définition de propriétés de famille du manuel de référence.
Le module dynacase-contacts
déclare la famille USER
comme destinataire de courriel (il possède le tag MAILRECIPIENT
).
Par le passé (version < 3.2), lors de la déclaration d'une famille, la déclaration d'une valeur par défaut sur un attribut d'une famille mère n'avait pas de répercussion sur la valeur par défaut de cet attribut sur une famille fille.
A présent (version >= 3.2), la valeur par défaut d'un attribut d'une famille fille pourra être la valeur par défaut positionnée sur l'attribut de la famille mère, si la famille fille ne spécifie pas explicitement sa propre valeur par défaut.
La valeur par défaut d'un attribut remonte donc les liens de parenté à la recherche d'une valeur par défaut pour cet attribut.
Vos familles de cycle de vie doivent être déclarés "système" à l'aide du mot-clef USEFOR
avec la valeur SW
.
☞ Voir chapitre 4.8.2.2 Définition de propriétés de famille du manuel de référence.
La classification, en familles système et familles non-système, des familles livrées par défaut a été modifiée.
Les familles qui ont été basculées en familles "système" sont :
id | name | usefor ------+----------------+-------- 1 | BASE | S 3 | PDOC | SP 4 | PDIR | SP 5 | SEARCH | S 6 | PSEARCH | SP 16 | DSEARCH | S 18 | GUIDECARD | SG 19 | SGUIDECARD | SG 20 | WDOC | SW 23 | PFAM | SP 24 | TEXT | S 25 | REPORT | S 31 | MSEARCH | S 36 | BATCH | SA 127 | IGROUP | S 129 | GROUP | S 130 | ROLE | S 1001 | SENTMESSAGE | S 1006 | PUBLIMAIL | SA 1007 | BASICBATCH | SA 1019 | PORTAL_SERVICE | S 1020 | USER_PORTAL | S
Ces familles ne sont donc plus accessibles par défaut aux utilisateurs.
L'éditeur HTML pour les attributs htmltext
a été changé et est à présent CKeditor.
Ce document est publié sous licence CC http://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.0/fr/
Vous êtes libres :
Selon les conditions suivantes :
Installation & Exploitation
© Anakeen, Anakeen Labs <labs@anakeen.com>
Module Dynacase Platform, version 3.2
Édition 14
Publié le 21/02/2019
Ce livre a été produit avec easybook 4.8, logiciel libre et open source développé par Javier Eguiluz à l'aide de différents composants Symfony.